J'ai besoin de vous car je ne comprends ni le texte écrit en vieux français ni les questions. Je vous ai mis le texte et les questions en pièces jointes. Pouvez-vous m'aider, s'il vous plait ? Je dois envoyer le devoir lundi matin. Mille mercis à vous ! Bonne soirée !
1) Aucassin veut se battre à la seule condition que son père lui promette de revoir sa bien-aimée Nicolette.
2) La motivation qui pousse Aucassin à combattre est de pouvoir revoir Nicolette et l’embrasser.
3) Dans la phrase soulignée, Aucassin fait preuve d’une grande violence tuant la plupart de ses adversaires sans y prêter garde car ses pensées son pour Nicolette. C’est surréaliste.
4) Ce combat est tout à fait surréaliste. On peut parlé de tonalité épique car le fait qu’Aucassin à lui seul tue dix chevaliers et en blesse sept suscite l’admiration du lecteur face à cet exploit surhumain. La comparaison faite d’un sanglier face aux chiens amplifie l’impression de violence et de puissance.
5) Aucassin fait prisonnier son adversaire et le livre à son père.
6) Pour le père d’Aucassin un homme ne brille que par ses exploits de chevaliers et non pas par ses amours. Seule la bravoure d’un chevalier compte au Moyen-âge.
7) Le père ne respecte pas sa promesse faite à son fils Aucassin.
8) Face la promesse non tenue de son père, Aucassin relâche l’ennemi juré de son père en lui faisant promettre de reprendre la guerre contre son père.
9) On peut parler de situation renversé car au début, Aucassin est contraint de se battre contre la promesse de son père de revoir Nicolette une fois et de pouvoir l’embrasser. Et là, c’est Aucassin qui libère l’ennemi de son père contre la promesse de reprendre la guerre contre son père.
10) Dans cet extrait, la parole et la promesse ont une très grande importance. Un chevalier ne saurait mentir. En tant que prisonnier il doit répondre favorablement à celui qui l’a capturé.
11) Ce texte se rapproche d’un roman de chevalerie car on y raconte les exploits et les amours d’un chevalier. On y trouve le vocabulaire emprunté au combat épique : « le cheval vif et vigoureux « « le heaume…. l’épée… la lance …son écu.. le nasal » Le réalisme et le surréalisme se mêlent ensemble : « Il saisit son épée, frappe à droite et à gauche…………rend autour de lui la place vide et sanglante ».
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1) Aucassin veut se battre à la seule condition que son père lui promette de revoir sa bien-aimée Nicolette.
2) La motivation qui pousse Aucassin à combattre est de pouvoir revoir Nicolette et l’embrasser.
3) Dans la phrase soulignée, Aucassin fait preuve d’une grande violence tuant la plupart de ses adversaires sans y prêter garde car ses pensées son pour Nicolette. C’est surréaliste.
4) Ce combat est tout à fait surréaliste. On peut parlé de tonalité épique car le fait qu’Aucassin à lui seul tue dix chevaliers et en blesse sept suscite l’admiration du lecteur face à cet exploit surhumain. La comparaison faite d’un sanglier face aux chiens amplifie l’impression de violence et de puissance.
5) Aucassin fait prisonnier son adversaire et le livre à son père.
6) Pour le père d’Aucassin un homme ne brille que par ses exploits de chevaliers et non pas par ses amours. Seule la bravoure d’un chevalier compte au Moyen-âge.
7) Le père ne respecte pas sa promesse faite à son fils Aucassin.
8) Face la promesse non tenue de son père, Aucassin relâche l’ennemi juré de son père en lui faisant promettre de reprendre la guerre contre son père.
9) On peut parler de situation renversé car au début, Aucassin est contraint de se battre contre la promesse de son père de revoir Nicolette une fois et de pouvoir l’embrasser. Et là, c’est Aucassin qui libère l’ennemi de son père contre la promesse de reprendre la guerre contre son père.
10) Dans cet extrait, la parole et la promesse ont une très grande importance. Un chevalier ne saurait mentir. En tant que prisonnier il doit répondre favorablement à celui qui l’a capturé.
11) Ce texte se rapproche d’un roman de chevalerie car on y raconte les exploits et les amours d’un chevalier. On y trouve le vocabulaire emprunté au combat épique : « le cheval vif et vigoureux « « le heaume…. l’épée… la lance …son écu.. le nasal » Le réalisme et le surréalisme se mêlent ensemble : « Il saisit son épée, frappe à droite et à gauche…………rend autour de lui la place vide et sanglante ».