Travail d'écriture : 

Ecriture d'invention : 

Dans un roman de science-fiction, les hommes sont asservis par les animaux. Imaginez le dialogue entre un homme et un animal, celui-ci défendant le fait que les bêtes aient pris le pouvoir. 

Mon travail : 

-Nous avons le pouvoir! Dit un animal.
-Je ne pense pas, nous sommes bien plus intelligents, dit l'homme.
-Mais, nous, nous sommes bien plus nombreux! Répliqua-t-il.-Certes, cependant le nombre ne fait pas tout. Pourquoi pensez-vous que nous ayons eu le pouvoir pendant si longtemps? Posez-vous la question! 
-Je pense surtout que votre avidité et votre soif de pouvoir vous a perdu. Vous n'avez même pas été capable de remarquer que nous sommes partout mais pour vous, nous ne sommes que des animaux, n'est-ce-pas?
Eh bien oui, les animaux sauvages, vos animaux de compagnie...Pourquoi pensez-vous que nous vous faisons croire d'être apprivoisé pour être de bonne compagnie! 
En fait, nous vous avons infiltré depuis maintenant plusieurs années afin d'avoir le pouvoir sur vous. Et ce jour est arrivé, car vous êtes tellement naïfs et bêtes que vous n'avez rien remarquer. Alors que dites-vous de cela?
-Je pense que...
-Vous ne savez que dire, n'est-ce-pas? 
-Regarder par vous-même autour de vous.
Combien d'animaux pour combien d'hommes? Près d'une famille sur deux ont un ou plusieurs animaux. Alors vous ne me croyez toujours pas! Nous régnons en maîtres absolus, nous avons le pouvoir, mais vous ne le savez peut-être pas tous. Pourtant, c'est bien le cas. Nous entrons dans le nouveau monde qui ne vous plaira sûrement pas.

Dites-moi ce que vous pensez de mon travail ou proposez votre écriture.

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Merci de m'aider. Les avantages du régime athénien"(...) Athènes est libre : le peuple y règne ; tour a tour, les citoyens, magistrats annuels, administrent l'état. Nul privilège à la fortune : car le pauvre et le riche ont des droits égaux dans le pays. (...) (...) Pour un peuple, il n'est rien de pire qu'un tyran. Sous ce régime, pas de lois faites pour tous. Un seul homme gouverne, et la loi, c'est sa chose. Donc, plus l'égalité, tandis que sous l'empire des lois écrites, pauvres et riches ont mêmes droits. Le faible peut répondre à l'insulte du fort, et le petit, s'il a raison, vaincra le grand. Quant a la liberté, elle est dans ces paroles : "Qui veut, qui peut donner un avis sage a sa patrie ?" Lors, à son gré, chacun peut briller...ou se taire. Peut-on imaginer plus belle égalité ?"Questions : 1)Vous relèverez le thème central du document en n'oubliant pas de définir l'organisation du régime politique mentionné dans le texte.2)Comment Euripide évoque-t-il les notions d'égalité et de liberté qui s'attachent à ce régime?3)Vous présenterez la manière dont le peuple peut exercer ce pouvoir en expliquant les allusions aux citoyens, aux magistrats, aux lois de la cité, au droit de prendre la parole.4)La démocratie protège le citoyen : vous justifierez cette phrase.5)Vous exercerez votre esprit critique en nuançant la présentation très positive qui est faite de la démocratie athénienne.
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Je vous prie de m'aider. Pleins de bons points pour vous.   Lisez d'abord ce texte :    Texte B.Molière, Tartuffe (acte V, scène 7 – v.1861-1908)   Au dénouement de la pièce, Orgon comprend qu’il a été la dupe de Tartuffe,un faux dévot qui n’en voulait qu’à son bien et qu’à sa femme, Elmire. Bienque son entourage l’ait prévenu des manigances de Tartuffe, Orgon s’estobstiné dans son amitié pour lui. C’est donc une cruelle désillusion pour lui.Dans la dernière scène, un nouvel événement se produit. Tartuffe, absentdepuis la fin de l’acte IV, revient pour prendre possession de la maison d’Orgon,léguée par un acte notarié qu’il lui a extorqué malhonnêtement… Scène dernièreL’exempt(1), TARTUFFE, ORGON, VALÈRE, ELMIRE, MARIANE, etc.TARTUFFETout beau, Monsieur, tout beau, ne courez point si vite ;Vous n’irez pas fort loin pour trouver votre gîte,Et de la part du Prince(2) on vous fait prisonnier.ORGONTraître, tu me gardais ce trait pour le dernier !C’est le coup, scélérat, par où tu m’expédies(3),Et voilà couronner toutes tes perfidies.TARTUFFEVos injures n’ont rien à(4) me pouvoir aigrir,Et je suis pour le Ciel appris(5) à tout souffrir.CLÉANTELa modération est grande, je l’avoue !DAMIS(6)Comme du Ciel l’infâme impudemment se joue !TARTUFFETous vos emportements ne sauraient m’émouvoir,Et je ne songe à rien qu’à faire mon devoir.MARIANEVous avez de ceci grande gloire à prétendre,Et cet emploi pour vous est fort honnête à prendre.TARTUFFEUn emploi ne saurait être que glorieuxQuand il part du pouvoir qui m’envoie en ces lieux.ORGONMais t’es-tu souvenu que ma main charitable,Ingrat, t’a retiré d’un état misérable ?TARTUFFEOui, je sais quels secours j’en ai pu recevoir ;Mais l’intérêt du Prince est mon premier devoir ;De ce devoir sacré la juste violenceÉtouffe dans mon coeur toute reconnaissance,Et je sacrifierais à de si puissants noeudsAmi, femme, parents, et moi-même avec eux.ELMIREL’imposteur !DORINEComme il sait de traîtresse manièreSe faire un beau manteau de tout ce qu’on révère !CLÉANTEMais, s’il est si parfait que vous le déclarez,Ce zèle qui vous pousse et dont vous vous parez,D’où vient que pour paraître il s’avise d’attendreQu’à poursuivre sa femme il ait su vous surprendre,Et que vous ne songez à l’aller dénoncerQue lorsque son honneur l’oblige à vous chasser ?Je ne vous parle point, pour devoir en distraire(7),Du don de tout son bien qu’il venait de vous faire ;Mais le voulant traiter en coupable aujourd’hui,Pourquoi consentiez-vous à rien(8) prendre de lui ?TARTUFFE, à l’Exempt(9).Délivrez-moi, Monsieur, de la criaillerie,Et daignez accomplir votre ordre, je vous prie.L’EXEMPTOui, c’est trop demeurer sans doute à l’accomplir.Votre bouche à propos m’invite à le remplir ;Et, pour l’exécuter, suivez-moi tout à l’heure(10)Dans la prison qu’on doit vous donner pour demeure.TARTUFFEQui ? moi, Monsieur ?L’EXEMPTOui, vous.TARTUFFEPourquoi donc la prison ?L’EXEMPTCe n’est pas vous à qui j’en veux rendre raison.(À Orgon)Remettez-vous, Monsieur, d’une alarme si chaude.Nous vivons sous un prince ennemi de la fraude,Un prince dont les yeux se font jour dans les coeurs,Et que ne peut tromper tout l’art des imposteurs.(...) 1. L’officier royal chargé des arrestations.2. Le prince = le roi Louis XIV.3. Achever, porter le dernier coup. Tu m’expédies = tu m’achèves.4. À = pour.5. « Être appris » = être instruit.6. C’est le fils d’Orgon. Damis est revenu (V, 3) pour sauver son père du danger qu’il encourt suite à la disparition de la cassette de son ami Argas, un frondeur, qu’il tenait cachée chez lui pour le protéger, et que Tartuffe a remis à la justice royale (V,6).7. « pour devoir en distraire » = alors que ce don aurait dû vous détourner de dénoncer Orgon.8. Rien = quelque chose (étymologiquement « rien » vient de res en latin qui signifie « chose »). Rien a pris progressivementun sens négatif en français parce qu’employé avec la négation « ne ».9. Officier de la garde personnelle du roi.   Travail d'écriture :   Vous ferez le commentaire de l'extrait de Tarfuffe(texte B).     Je vous remercie du fond du coeur pour votre aide. Merci encore. 
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