June 2021 1 157 Report
bonjour, a corriger svp



Creo que el conflicto es el resultado
de un política inapropiada.¿ La inmigración enriquece o empobrece
un país? Este es un tema demasiado importante y demasiado
complejopara que no nos dejemos llevar por nuestros pensamientos. De
hecho, para mí la inmigración presenta ventajas y desventajas, y
entonces cada uno de nosotros vive junto a esta inmigración según
su experiencia propia de la vida.

La inmigración no es una amenaza o un
problema, porque es y ha sido siempre
un beneficio, ¡es principalmente la
mentalidad la que necesita evolucionar! Los inmigrantes no son
nuestros enemigos, debemos aprovechar sus conocimientos para
enriquecernos.







En su artículo publicado en El País,
Carlos Fuentes reacciona y contesta al universitario Huntington que
ha publicado un ensayo muy polemista sobre las civilizaciones. En
éste, Huntington explica que los inmigrantes mexicanos son una
plaga para los Estados Unidos, con una visión muy despectiva y
alarmista de los inmigrantes y de la inmigración en general.

Huntington presenta a los
latinoamericanos y mexicanos como una raza defectuosa e inferior que
empobrece EEUU y los quiere invadir y colonizar hasta hacer
desaparecer a los estadounidenses por completo. La teoría alarmista
y racista de Huntington menciona el empleo y el idioma como
argumentos para defender su teoría.



Yo no comparto la opinión del
universitario sobre los migrantes, primero porque no creo que los
occidentales sean superiores a los otros hombres, y luego porque para
mí somos todos iguales, pero no tenemos las mismas oportunidades.
Además me parece lógico que una persona vaya a vivir donde pueda
encontrar empleo, para alimentar y cuidar su familia. Por fin, su
teoría sobre la invasión planeada por los mexicanos me parece tan
ridícula como exagerada.





Para concluir, me parece importante
luchar contra los que quieren generalizar sus visiones racistas y
xenófobas del mundo, y comparto la indignación visible de Fuentes
en su texto.


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bonsoir, pouvez vous maider il faut faire un Commentaire : Vous commenterez l’extrait de La Princesse de Clèves de Madame de Lafayette (texte A).     Présentation de Mlle de Chartres, qui deviendra la princesse de Clèves.Il parut alors une beauté à la Cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l’on doit croire que c’était une beauté parfaite, puisqu’elle donna de l’admiration dans un lieu où l’on était si accoutumé à voir de belles personnes. Elle était de la même maison1 que le vidame2 de Chartres et une des plus grandes héritières de France. Son père était mort jeune, et l’avait laissée sous la conduite de Madame de Chartres, sa femme, dont le bien, la vertu et le mérite étaient extraordinaires. Après avoir perdu son mari, elle avait passé plusieurs années sansrevenir à la Cour. Pendant cette absence, elle avait donné ses soins à l’éducation de sa fille, mais elle ne travailla pas seulement à cultiver son esprit et sa beauté, elle songea aussi à lui donner de la vertu et à la lui rendre aimable. La plupart des mères s’imaginent qu’il suffit de ne parler jamais de galanterie3 devant les jeunes personnes pour les en éloigner. Madame de Chartres avait une opinion opposée, elle faisait souvent à sa fille des peintures de l’amour, elle lui montrait ce qu’il a d’agréable pour la persuader plus aisément sur ce qu’elle lui en apprenait de dangereux ; elle lui contait le peu de sincérité des hommes, leurs tromperies et leur infidélité, les malheurs domestiques4 où plongent les engagements5, et elle lui faisaitvoir, d’un autre côté, quelle tranquillité suivait la vie d’une honnête femme, et combien la vertu donnait d’éclat et d’élévation à une personne qui avait de la beauté et de la naissance, mais elle lui faisait voir aussi combien il était difficile de conserver cette vertu, que par une extrême défiance de soi-même et par un grand soin de s’attacher à ce qui seul peut faire le bonheur d’une femme, qui est d’aimer son mari et d’en être aimée. Cette héritière était alors un des grands partis qu’il y eût en France, et quoiqu’elle fût dans une extrême jeunesse, l’on avait déjà proposé plusieurs mariages. Madame de Chartres, qui était extrêmement glorieuse6, ne trouvait presque rien digne de sa fille. La voyant dans sa seizième année, elle voulut la mener à la Cour. Lorsqu’elle arriva, le vidame alla au-devant d’elle ; il fut surpris7 de la grande beauté de Mademoiselle de Chartres, et il en fut surpris avec raison. La blancheur de son teint et ses cheveux blonds lui donnaient un éclat que l’on n’a jamais vu qu’à elle ; tous ses traits étaient réguliers, et son visage et sa personne étaient pleins de grâce et de charmes.  
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Bonjour,  j'ai un commentaire entierement redigée a faire sur Le Clézio, Désert, (1980)merci d'avance de tout aide Lalla remonte vers la vieille ville, elle gravit lentement les marches de l’escalier défoncé oùcoule l’égout qui sent fort. En haut de l’escalier, elle tourne à gauche, puis elle marche dansla rue du Bon-Jésus. Sur les vieux murs lépreux, il y a des signes écrits à la craie, des lettres et des dessins incompréhensibles, à demi effacés. Par terre, il y a plusieurs taches rouges comme le sang, où rôdent des mouches. La couleur rouge résonne dans la tête de Lalla, fait un bruit de sirène, un sifflement qui creuse un trou, vide son esprit. Lentement, avec effort, Lalla enjambe une première tache, une deuxième, une troisième. Il y a de drôles de choses blanches mêlées aux taches rouges, comme des cartilages, des os brisés, de la peau, et la sirène résonne encore plus fort dans la tête de Lalla. Elle essaie de courir le long de la rue en pente, mais les pierres sont humides et glissantes, surtout quand on a des sandales de caoutchouc. Rue du Timon, il y a encore des signes écrits à la craie sur les vieux murs, des mots, peut-être des noms ? Puis une femme nue, aux seins pareils à des yeux, et Lalla pense au journal obscène déplié sur le lit défait, dans la chambre d’hôtel. Plus loin, c’est un phallus énorme dessiné à la craie sur une vieille porte, comme un masque grotesque.Lalla continue à marcher, en respirant avec peine. La sueur coule toujours sur son front, lelong de son dos, mouille ses reins, pique ses aisselles. Il n’y a personne dans les rues à cette heure-là, seulement quelques chiens au poil hérissé, qui rongent leurs os en grognant. Lesnfenêtres au ras du sol sont fermées par des grillages, des barreaux. Plus haut, les volets sont tirés, les maisons semblent abandonnées. Il y a un froid de mort qui sort des bouches des soupirails, des caves, des fenêtres noires. C’est comme une haleine de mort qui souffle le long des rues, qui emplit les recoins pourris au bas des murs. Où aller ? Lalla avance lentement de nouveau, elle tourne encore une fois à droite, vers le mur de la vieille maison. Lalla a toujours un peu peur, quand elle voit ces grandes fenêtres garnies de barreaux, parce qu’elle croit que c’est une prison où les gens sont morts autrefois : on dit même que la nuit, parfois, on entend les gémissements des prisonniers derrière les barreaux des fenêtres. Elle descend maintenant le long de la rue des Pistoles, toujours déserte, et par la traverse de la Charité, pour voir, à travers le portail de pierre grise, l’étrange dôme rose qu’elle aime bien. Certains jours elle s’assoit sur le seuil d’une maison, et elle reste là à regarder très longtemps le dôme qui ressemble à un nuage, et elle oublie tout, jusqu’à ce qu’une femme vienne lui demander ce qu’elle fait là et l’oblige à s’en aller.Mais aujourd’hui, même le dôme rose lui fait peur, comme s’il y avait une menace derrièreses fenêtres étroites, ou comme si c’était un tombeau. Sans se retourner, elle s’en va vite, elle redescend vers la mer, le long des rues silencieuses. Le vent qui passe par rafales fait claquer le linge, de grands draps blancs aux bords effilochés, des vêtements d’enfants, d’homme, des lingeries bleues et roses de femme ; Lalla ne veut pas les regarder, parce qu’ils montrent des corps invisibles, des jambes, des bras, des poitrines, comme des dépouilles sans tête.Elle longe la rue Rodillat, et là aussi il y a ces fenêtres basses, couvertes de grillage, fermées de barreaux, où les hommes et les enfants sont prisonniers. Lalla entend par moments les bribes de phrases, les bruits de vaisselle ou de cuisine, ou bien la musique nasillarde, et elle pense à tous ceux qui sont prisonniers, dans ces chambres obscures et froides, avec les blattes et les rats, tous ceux qui ne verront plus la lumière, qui ne respireront plus le vent.
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Bonjour à tous, j'aurais besoin d'aide, en effet, j'ai un devoir en français oral de 3mn ou il faudrait faire, Raconté au passé l’expérience la plus extraordinaire que tu aies vécue. Il pourra s’agir d’une anecdote que tu as réellement vécue ou d’une scène que tu inventeras, l’important étant de décrire cette expérience de la façon la plus détaillée possible. Tu veilleras à employer le lexique, le passé simple et l’imparfaitpouvez vous corriger et dire si ça correspont a la question merciIl m’est arrivé beaucoup de choses extraordinaires dans ma vie, des choses agréables et d’autres moins mais la plupart ont découlé d’un événement apparemment sans importance qui a décidé de ma vie.  J'avais oublié. Cet été , nous étions mes parents et moi en vacances en Bretagne sur l’île de groix , où nous avons une maison. Nos chaises étaient vieilles et abîmées, nous avions donc décidé de les changer. Mon père alla regarder sur internet s’il n’y avait pas des chaises à vendre sur l’île .Oui, 6 chaises étaient à vendre ,il téléphona et la personne lui répondit de passer les voir. Avant d’aller à la plage , nous y sommes allés. J’ai sonné à la porte et le maire de ma ville m’ouvrit. Incroyable, le maire….je savais qu’elle avait une maison sur l’île mais je ne pensais pas qu’elle m’ ouvrirait un jour la porte de sa maison de campagne. Elle sourit, elle vit que j’étais gêné . Je lui dis : Madame vous êtes le Maire de la ville c’est incroyable jamais je n’aurais cru me retrouver chez vous.Mes parents achetèrent les chaises, et depuis cet été, nous avons donc les chaises de le maire de ma ville dans la maison de campagne. depuis que le professeur nous a demandé de faire ce devoir est racontait un aventure extraordinaire que j’aie vécue.
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Bonjour à tous et bonne année, pouvez vous me traduire ce texte en espagnol s.v.p merci d'avance de tout aideIl m'est arrivé beaucoup de choses extraordinaires dans ma vie, des choses agréables et d'autres moins, mais la plupart ont découlé d'un événement apparemment sans importance qui a décidé de ma vie. J'avais oublié, il y a quelques années, un été, cela a influencé ma vie . Je me souviens que nous avions passé une très bonne journée, installés dans son jardin à discuter de la ville, mais aussi de la Bretagne et la plage fut oubliée. Nous partîmes tard et heureux de notre journée. Mes parents achetèrent les chaises, que nous avons gardées très longtemps, nous étions mes parents et moi en vacances en Bretagne sur l'île de Groix, où nous avons une maison. Nos chaises étaient vieilles et abîmées, nous avions donc décidé de les changer. Mon père alla regarder sur internet il n'y avait pas de chaises à vendre sur l'île .Oui, six chaises étaient à vendre, il téléphona et la personne lui répondit de passer les voir, avant d'aller à la plage, nous y sommes allés. J'ai sonné à la porte et la maire de la ville m'ouvrit. Incroyable, la maire.... je savais qu'elle avait une maison sur l'île, mais je ne pensais pas qu'elle m'ouvrirait un jour la porte de sa maison de campagne. Elle sourit, elle vit que j'étais gêné. Je lui dis : Madame vous êtes la Maire de la ville c'est incroyable jamais je n'aurais cru me retrouver chez vous. Mes parents achetèrent les chaises et depuis cet été, nous avons donc les chaises du maire de ma ville dans la maison de campagne. Comme nous avions été très bien accueillis et cela a donc influencé mon avenir je m'étais dit alors que les hommes et les femmes politiques étaient comme nous et l'on pouvait même discuter avec eux, qu'ils n'étaient pas si prétentieux que cela. Alors, à la fin de mes études, j'ai travaillé à la mairie et j'ai fait du bénévolat, depuis je suis devenu maire de ma ville quand la maire a pris sa retraite.
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Bonjour, pouvez-vous corriger mon devoir et m'aider pour les questions que je n'ai pas su faire s'il vous plaît, merci d'avance de tout aideTenía idealizada la figura del escritor La narradora habla de su relación con la literatura. Asistí a unas charlas sobre literatura. Iba siempre en compañía de Antonia, que era la que me informaba sobre las características del orador: si era un novelista, un poeta, un profesor, si de él podía esperarse una intervención amena y brillante. Las charlas solían tener lugar en cajas de ahorros y colegios mayores, y el momento clave venía al principio, cuando el conferenciante recorría el pasillo precedido por el presentador, subía con mayor o menor desenvoltura los escalones del estrado y ocupaba su asiento ante el botellín de agua y el micrófono. En realidad, de aquellos hombres y mujeres me interesaban menos las palabras que el aspecto, menos las ideas que la forma de comportarse. Tenía idealizada la figura del escritor. Pensaba que los escritores eran unos seres instalados en un nivel superior de la existencia, personas que tenían respuestas para todo y a las que me habría gustado poder acceder para contrastar mis inquietudes y pedir consejo. Si un escritor no sabía orientarse en el laberinto de la vida, ¿quién entonces? Por eso ese primer minuto era tan importante: porque en él debía descubrir los rasgos4 que revelan su genio. Estaba segura de que, si alguna vez me hubiera cruzado por la calle con un escritor de los que yo admiraba, con Pasternak5 o con Hemingway6, una simple ojeada me habría bastado para percibir su superioridad, una superioridad que procedía de la experiencia del dolor y de la habilidad para convertir esa experiencia en arte. Con aquellos escritores de la caja de ahorros ese primer vistazo resultaba siempre decepcionante, y sus palabras no hacían otra cosa que confirmarlo. Los encontraba humanos, demasiado humanos: pequeños, miserables. Mencionaban títulos de libros desconocidos dando por supuesto que todos los habíamos leído, y de vez en cuando descalificaban a algún que otro autor clásico para darse importancia y situarse por encima. Con sus barbitas recortadas y sus gafas de concha tenían algo de impostores, de charlatanes (…) No, seguro que ni Pasternak ni Hemingway eran así. Me volvía hacia Antonia y le decía al oído: “A éste tampoco me apetece leerle.” Y ella me lo reprochaba en un susurro: “¡Mujer, cómo eres!” Antonia era de las que luego, cuando acababa la charla, se acercaban con su ejemplar y hacían cola para conseguir una dedicatoria. Yo la esperaba a la salida. Ella se reunía conmigo al cabo de unos minutos. Llevaba el libro como las colegialas llevan sus carpetas, apretado contra el pecho. Ignacio Martínez de Pisón, El tiempo de las mujeres, 2003 Questions : 1) Identifica a los dos personajes del texto e indica cuál es la relación que las unía y qué actividad compartían. Los dos personajes del texto son la narador y antonia. Son amigos y participan juntos a unas charlas sobre literatura. 2)Para la narradora, ¿qué momento de la charla era el más intenso de las charlas? ¿Por qué? Apunta dos frases del texto.Para la narradora, el momento de la charla era el más intenso es el primer minuto : '' Por eso ese primer minuto era tan importante: porque en él debía descubrir los rasgos que revelan su genio'' 3)Cita una frase del texto que muestra que a la narradora no le interesaba realmente el discurso de los escritores.La frase del texto que muestra que a la narradora no le interesaba realmente el discurso de los escritores es '' En realidad, de aquellos hombres y mujeres me interesaban menos las palabras que el aspecto, menos las ideas que la forma de comportarse.'' 4) Apunta dos frases que muestran que la narradora « tenía idealizada la figura del escritor».Je ne sais pas5) La narradora asistió a unas conferencias dadas por Pasternak y Hemingway. ❒ Verdadero / ❒ Falso Justifica tu respuesta a partir del texto. La narradora asistió a unas conferencias dadas por Pasternak y Hemingway : Falso, '' Estaba segura de que, si alguna vez me hubiera cruzado por la calle con un escritor de los que yo admiraba, con Pasternak o con Hemingway. 6) ¿Por qué no le gustaban a la narradora los autores que veía en las charlas? Apóyate por lo menos en dos elementos del texto.Je ne sais pas7) Explica por qué, al final de las charlas, los dos personajes no reaccionaban de la misma manera.Je ne sais pas
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