1. les dialogues marquent une opposition de caractère entre Mme LOisel et M. loisel. Ce dernier est sage, essaye de trouver des solutions avec les moyens qu'ils ont, pret a tout pour satisfaire sa femme et il est également génereux (il renonce à l’achat de son fusil, l. 42-49). Mme Loisel n'est pas sage elle ne supporte pas sa position (« je n’ai pas de toilette et par conséquent je ne peux aller à cette fête », l. 26-27, « il n’y a rien de plus humiliant que d’avoir l’air pauvre », l. 65).
2. – l’irritation car elle n’a pas de toilette (« Elle le regardait d’un œil irrité », l. 11) ;
– l’immense déception (« sa femme pleurait », l. 18-19) ;
– l’espoir, après la proposition de son mari (l. 39-49) ;
– puis à nouveau l’inquiétude, l’anxiété provoquée par l’absence de bijou (l.56 à 58) ;
- et, enfin, l’euphorie (« Elle sauta au cou de son amie, l’embrassa avec emportement, puis s’enfuit avec son trésor », l. 89-90).
voila j'espere tavoir aidé dit moi si tu as dees questions, des remarques
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bonjour :)
1. les dialogues marquent une opposition de caractère entre Mme LOisel et M. loisel. Ce dernier est sage, essaye de trouver des solutions avec les moyens qu'ils ont, pret a tout pour satisfaire sa femme et il est également génereux (il renonce à l’achat de son fusil, l. 42-49). Mme Loisel n'est pas sage elle ne supporte pas sa position (« je n’ai pas de toilette et par conséquent je ne peux aller à cette fête », l. 26-27, « il n’y a rien de plus humiliant que d’avoir l’air pauvre », l. 65).
2. – l’irritation car elle n’a pas de toilette (« Elle le regardait d’un œil irrité », l. 11) ;
– l’immense déception (« sa femme pleurait », l. 18-19) ;
– l’espoir, après la proposition de son mari (l. 39-49) ;
– puis à nouveau l’inquiétude, l’anxiété provoquée par l’absence de bijou (l.56 à 58) ;
- et, enfin, l’euphorie (« Elle sauta au cou de son amie, l’embrassa avec emportement, puis s’enfuit avec son trésor », l. 89-90).
voila j'espere tavoir aidé dit moi si tu as dees questions, des remarques