Bonjour, je n’arrive pas à répondre à ses questions du poème qu’ils étudient de Valérie Larbaud en 1913. Merci beaucoup à ceux qui m’aideront pour ce devoir qui est à rendre pour demain. Je vous mets le poème en pièce jointe.

Voici les questions :

1.a) les verbes employés sont-ils de longueur régulière ?
b) le poème comporte-t-il des rimes?
c) observe les différentes strophes. quelle remarque, peux-tu faire sur leur taille ?
d) En quoi ses choix permet-t-il aux poètes de faire entrer dans son écriture le « mouvement »des trains ?

3.a) « ton grand bruit » (v.1) - « l’angoissante musique qui bruit » (v.4)
Les mots en gras, appartiennent-t-il à la même classe grammaticale?justifie ta réponse. (Les mots en gras son bruit )
b) « tendit que derrière les portes laquées, au loquets de cuivre lourd » (v.4)
Souligne dans ce verre deux par anonyme (mot dans la prononciation est très proche).
c) « Et je suis ta course » (v.8)
Quelles sont les deux interprétations possibles du verbe en gras ? ( le verbe en gras est « suis »)

4.a) « vos vibrantes voix de chanterelles »(v.12)
Observe les éléments en gras ( la lettre V ).Quelles sont consonantique répéter? Qu’elle est fait c’est allitération peut-elle traduire?
b) « qui bruit le long de tes couleurs de cuir doré , Tendit que derrière les portes laquées au loquets de cuivre lourd » (v.4-5)
Surligne dans ces deux verres, les sous consonantique et vocaliques qu’il qui sont répétés.