Bonjours, J'ai une rédaction sur Le cid à rendre pour aujoud'hui, mais je n'y arrive pas, pouriez vous m'aider s'il-vous-plait. Merci.
Le cid, Pierre Corneille
Sujet : La pièce se termine sur la tirade de don Fernand, le roi et sur ce vers, « Laisse faire le temps, la vaillance et ton roi ».
Au théâtre, le pouvoir repose sur les mots, incarnés par un acteur. Ce dernier vers montre les valeurs sur lesquelles se terminent la pièce : un certain mépris pour Chimène, la glorification de la vaillance guerrière, à condition qu’elle soit au service de la monarchie.
Imaginez que Chimène prenne la parole, que ses mots soient la conclusion de la pièce. - Ecrivez la tirade de Chimène.
Consignes :
- vous écrirez en PROSE.(30 lignes environ)
- Soit Chimène répond à Rodrigue, au roi ; soit vous imaginez une nouvelle scène : un monologue ou un dialogue avec sa gouvernante-confidente, Léonor.
- -Evidemment, vous devez tenir compte de l’intrigue de la pièce. Pas d’anachronismes. Tenez compte aussi du ton (exagération, phrases exclamatives, lyrisme…)
- -Chimène a les derniers mots.
Le cid, Pierre Corneille
Sujet : La pièce se termine sur la tirade de don Fernand, le roi et sur ce vers, « Laisse faire le temps, la vaillance et ton roi ».
Au théâtre, le pouvoir repose sur les mots, incarnés par un acteur. Ce dernier vers montre les valeurs sur lesquelles se terminent la pièce : un certain mépris pour Chimène, la glorification de la vaillance guerrière, à condition qu’elle soit au service de la monarchie.
Imaginez que Chimène prenne la parole, que ses mots soient la conclusion de la pièce. - Ecrivez la tirade de Chimène.
Consignes :
- vous écrirez en PROSE.(30 lignes environ)
- Soit Chimène répond à Rodrigue, au roi ; soit vous imaginez une nouvelle scène : un monologue ou un dialogue avec sa gouvernante-confidente, Léonor.
- -Evidemment, vous devez tenir compte de l’intrigue de la pièce. Pas d’anachronismes. Tenez compte aussi du ton (exagération, phrases exclamatives, lyrisme…)
- -Chimène a les derniers mots.
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Réponse :
Sire, je sais votre puissance, je sais que nous sommes aux ordres du roi. Acceptez cependant que je mette à vos pieds mes sentiments mêlés : mon chagrin d'avoir perdu un père et la douceur de revoir un visage si cher. Mais sire, il a tué mon père. Puis-je sans déchoir continuer à l'aimer ? Le temps est un maître sévère, il apporte vieillesse et apporte regrets. Mon âme tourmentée a besoin de repos. Acceptez-vous, Sire, que pour un temps, court peut-être, je vive en retrait chez les soeurs bénédictines. Je ne prononcerai pas de voeux, mon coeur restera fidèle à Rodrigue mais j'aurai au moins laissé passer ce temps qui calme les douleurs.
Explications :