Olga a promis à ses fils de (leur / leurs) envoyer de l'argent, pour qu'ils puissent payer (leur / leurs) pension et (leurs / leur) voyage de retour en France ; mais le temps passe et l'argent tarde à ar- river: pour les deux frères, les vacances à Stavelot (ce / se) prolongent. Ils (se / ce) sentent un peu honteux de leur/leurs vêtements usés et râpés, mais ils profitent de se / ce temps de vacances forcées pour (se / ce) promener dans la campagne.
7_Complétez avec l'homophone qui convient.
Au printemps, le matin, vers dix heures, (........ )le soleil rajeuni faisait flotter sur le fleuve tranquille cette petite buée qui coule avec l'eau, et versait dans le dos des deux enragés pêcheurs une bonne chaleur de saison nouvelle, Morissot parfois disait à son voisin : « Hein!(..........) douceur ! » et M. Sauvage répondait : « Je ne connais rien de meilleur. » Et cela (..............) suffisait pour (.............) comprendre et s'estimer.M. Sauvage, montrant du doigt les sommets, murmura : « Les Prussiens sont là-haut ! » Et une inquiétude paralysait les deux amis devant (............) paysage désert.
Olga a promis à ses fils de LEUR envoyer de l'argent, pour qu'ils puissent payer LEUR pension et LEUR voyage de retour en France ; mais le temps passe et l'argent tarde à ar- river: pour les deux frères, les vacances à Stavelot SE prolongent. Ils SE sentent un peu honteux de LEURS vêtements usés et râpés, mais ils profitent de CE temps de vacances forcées pour SE promener dans la campagne.
7_Complétez avec l'homophone qui convient.
Au printemps, le matin, vers dix heures, (........ )le soleil rajeuni faisait flotter sur le fleuve tranquille cette petite buée qui coule avec l'eau, et versait dans le dos des deux enragés pêcheurs une bonne chaleur de saison nouvelle, Morissot parfois disait à son voisin : « Hein!(..........) douceur ! » et M. Sauvage répondait : « Je ne connais rien de meilleur. » Et cela (..............) suffisait pour (.............) comprendre et s'estimer.M. Sauvage, montrant du doigt les sommets, murmura : « Les Prussiens sont là-haut ! » Et une inquiétude paralysait les deux amis devant (............) paysage désert.
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Olga a promis à ses fils de LEUR envoyer de l'argent, pour qu'ils puissent payer LEUR pension et LEUR voyage de retour en France ; mais le temps passe et l'argent tarde à ar- river: pour les deux frères, les vacances à Stavelot SE prolongent. Ils SE sentent un peu honteux de LEURS vêtements usés et râpés, mais ils profitent de CE temps de vacances forcées pour SE promener dans la campagne.
7_Complétez avec l'homophone qui convient.
Au printemps, le matin, vers dix heures, (........ )le soleil rajeuni faisait flotter sur le fleuve tranquille cette petite buée qui coule avec l'eau, et versait dans le dos des deux enragés pêcheurs une bonne chaleur de saison nouvelle, Morissot parfois disait à son voisin : « Hein!(..........) douceur ! » et M. Sauvage répondait : « Je ne connais rien de meilleur. » Et cela (..............) suffisait pour (.............) comprendre et s'estimer.M. Sauvage, montrant du doigt les sommets, murmura : « Les Prussiens sont là-haut ! » Et une inquiétude paralysait les deux amis devant (............) paysage désert.