II. ÉTUDE DE LA LANGUE (5 points) Complète le texte suivant en reportant sur ta copie, dans l’ordre, les cinq verbes correctement conjugués. Ce grand cœur qui (paraître, présent de l’indicatif) aux discours que tu tiens, Par tes yeux, chaque jour, (se découvrir, imparfait de l’indicatif) aux miens ; Et croyant voir en toi l’honneur de la Castille, Mon âme avec plaisir te destinait ma fille. Je sais ta passion, et suis ravi de voir Que tous ses mouvements cèdent à ton devoir ; Qu’ils n’ont point affaibli cette ardeur magnanime ; Que ta haute vertu (répondre, présent de l’indicatif) à mon estime ; Et que, voulant pour gendre un cavalier parfait, Je ne me trompais point au choix que j’avais fait ; Mais je (sentir, présent de l’indicatif) que pour toi ma pitié s’intéresse ; J’admire ton courage, et je (plaindre, présent de l’indicatif) ta jeunesse.
Ce grand cœur qui paraît aux discours que tu tiens, Par tes yeux, chaque jour, se découvrait aux miens ; Et croyant voir en toi l’honneur de la Castille, Mon âme avec plaisir te destinait ma fille. Je sais ta passion, et suis ravi de voir Que tous ses mouvements cèdent à ton devoir ; Qu’ils n’ont point affaibli cette ardeur magnanime ; Que ta haute vertu répond à mon estime ; Et que, voulant pour gendre un cavalier parfait, Je ne me trompais point au choix que j’avais fait ; Mais je sens que pour toi ma pitié s’intéresse ; J’admire ton courage, et je plains ta jeunesse.
c'est un extrait du CID de CORNEILLE Bonne journée
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Bonjour,Ce grand cœur qui paraît aux discours que tu tiens,
Par tes yeux, chaque jour, se découvrait aux miens ;
Et croyant voir en toi l’honneur de la Castille,
Mon âme avec plaisir te destinait ma fille.
Je sais ta passion, et suis ravi de voir
Que tous ses mouvements cèdent à ton devoir ;
Qu’ils n’ont point affaibli cette ardeur magnanime ;
Que ta haute vertu répond à mon estime ;
Et que, voulant pour gendre un cavalier parfait,
Je ne me trompais point au choix que j’avais fait ;
Mais je sens que pour toi ma pitié s’intéresse ;
J’admire ton courage, et je plains ta jeunesse.
c'est un extrait du CID de CORNEILLE
Bonne journée