Quelqu'un aurai-t-il le courage de me corriger cela ? Merci d'avance <3L’inexistence de l'enfance. Etre enfant. Etres enfant ça signifie quoi au finale ? Etre agé de moins de 12 ans, jouer a la poupée, et pleurer pour un genoux écorché ? D'apres le dictionnaire l'enfance une période établie de la naissance jusqu'à l'adolescence. Une période heureuse. Gravé de joie, gravé de mains un peu érafflée, gravé de pleure, de doudou déchiré, de guenilles que l'on a trop aimé. Déja petite, je voulais être dans la norme de ce pays, je voulais pouvoir me dire « Je suis un enfant, c'est pas pour moi, c'est pour les grands ». Mais non, la vie me voulais grande, non-innocente, consciente. La vie a voulus que je soie responsable, que je soie aimable, polie, souriante, et incomprise. Incomprise au yeux des grands, incomprise au yeux de mes parents. Moi je l'ai comprenais, du moins j'essayais de comprendre leurs connerie d'adulte. Mais eux, quand m'ont ils écouté ? Quand m'ont-il cru quand je leurs criais que mon papa étaient fou ? Jamais. Ils n'ont jamais voulus admettre la violence de cet homme. Apres tout je n'étais qu'une petite fille. Et les petite fille mentent, chiale pour rien, les petite filles veulent ce sentir vivente au yeux des gens. Alors on les regardes, on leurs souris, on hoche la tête et on leurs dis « Ne dis pas de bêtises, allé va jouer avec ta nouvelle barbie. » Pourquoi ? Pourquoi étais-je concidéré immature et percécuté ? Pourquoi ne pas m'écouter... Papa tappe maman, et moi je cris désespérément. Je crie a laide. Mais ma petite taille change tout. Tellement petite, tellement conne c'est ça ? Non. J'avais la tête sur les épaules. J'avais du poisons dans les veines. J'avais cinq ans, dans mes yeux aucune lueurs d'émerveillemet. J'avais cinq ans, et je haïssais déjà les grands.
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Quelqu'un peu me corriger les fautes sil vous plais ? Bon courage ^^  Ana Ana, ce fus si tot que tu fis par de moi. De moi, de mon corps, de mon cœur, de mon morale, de mes repas, de mon poids, de ma vie. Tu as en quelque mois prit ma place. Tu es devenus Emy, je suis devenue Ana. Changement. Changement de prénom, de corps, de vie. Changement, bouleversement, avertissement. Je suis au jour d'aujourd'hui, incapable d'expliquer comment tu t'es immiscé dans ma vie. Je ne sais ni comment, ni pourquoi. Enfance foireuse, adolescence douteuse. A croire que la vie ne m’apprécie.Pere alcoolique, violent, et jalousement possessif, cet être a contribué a ma fabrication, et a été ma destruction. Pendant 6 ans de ma vie j'ai vécu avec cette or dure, je me rappelle encore de tellement de choses. Déformé, accentué, effrayé, je ne vais vous dicté ce que je suis incapable d'exprimé. Haine, peur. Avec ma mère et ma sœur nous nous sommes caché pendant 9 ans de notre vie, les menaces incessante de faire réapparition, de casser la gu eule de ma pauvre maman, étaient devenue notre quotidien. Sal ope. Chienne. Bonne a rien. Voila comment était traité ma mere... Les cries raisonnaient, les coups volaient. Et aujourd'hui l'anorexie m’abattais. Ma pauvre maman, je suis désolée, tellement désolée de te faire revivre des choses affreuse. Tu en a déjà tellement bouffé... Et moi je ne cesse d'en rajouté. Ana m'a attrapé, et en même temps elle t'a touché. Tu saignes, tu saignes maman, excuse moi.
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Encore besoin d'une correction sur l'orthographe. Anorexie dévoilée Un jour pourtant ordinaire, mais qui sonna en moi comme des coups venants de l’enfer. C'était un mercredi je me souviens, je revenais du collège d'un cours d'histoire si ma mémoire est bonne. J'étais alors en 3eme. Le car me déposa a l'église et je rentra le cœur lègé chez moi... Ce moment d'innocence ne durera malheureusement pas. Maman ne me regardait pas, c'était étrange, ça ne lui ressemblait pas... Je me souviens lui avoir demander ce qu'il ce passait, et avec des larmes au yeux elle me questionna sur mon petit-déjeuné : «Tu as bus ton lait ce matin ?» « Tu a pris toutes tes tartines?» « Alors pourquoi depuis plusieurs jours du lait flotte dans les toilette, pourquoi y a-t-il encore des miettes de pain sur le sol ?». C'était une affreuse journée, mais inconsciente que je suis je lui promis de ne plus recommencer... Je suivis cette promesse un, deux, trois jours seulement. Une semaine plus tard, nous n'avions toujours pas repris cette conversation, c'était déjà du passé. Lundi soir. Ma mere rentre du boulot, se précipite dans le placard pour grignoter un bout de brioche avec du nutella. C'était son petit plaisir de la journée, n’apercevant pas le nutella elle me questionna pour savoir si je ne l'avais pas prit. Je lui répondis fermement non, elle avait confiance en ma parole... Le soir même, ma mere rentre dans ma chambre pour fermer ma fenêtre et mon chat la suivis. Cette petite fripouille ouvris un de mes tiroir laissant apercevoir une serviette pleine de sang, le fameux pot de nutella vide a présent, des laxatifs, et des tas de papier de gâteaux. Ma mère avait tout vus. Je m'effondra. Je lui ai péniblement expliqué que je pensais avoir des problèmes avec la nourriture, que je faisais des sorte de compulsions alimentaire, ce qui s’avéra être une anorexie boulimie. Nous avions convenue de m’emmener voir une psychiatre. C'est ce que je fis... Tous les mois j'avais un rendez-vous avec Dr. Sarfatis... Ce rituel ne dura pas longtempscar j'ai voulus arrêté. Prétextant me sentir mieux auprès de ma mère, je continuaissecrètement a perdre du poids. En 2mois je suis passé de 51kg a 42kg. Ma perte de poids alarma ma maman, et repris avec grand désespoir un RDV avec mon psychiatre. Pourquoi désespérément ? Tout simplement parce qu'un fois je plus je lui avais cacher que je n'allais pas bien. Pour une mère ce doit-être affreux de ce rendre compte que l'on est passé a coté de cette chose atteignant la santé de notre enfants. C'est pour cela que ma mere fus mise sous antidépresseur. A cause de moi. Ce fus de nouveau quelque chose que je retourna contre moi, ma maman était en dépression parce que je n'avais pas été capable de me garder en bonne santé. Je m'en voulais, elle m'en voulait, elle s'en voulait. »Bon courage.
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Quelqu'un de courageux pour me corrigé sa ? Les fautes d'orthographes..Tic tac, les aiguilles d'une horloges. La sonnerie du téléphone qui résonne, les enfants qui pleurent , l'odeur de la mort . On a l'habitude de ces conditions, spéciales des cabinets médicaux. On n'y prête souvent pas très attention, lorsqu'un rhume, une grippe, une grossesse nous amène; mais pour moi, tous les sens en alertes, la pesée décisives, le pouls qui ralentit, la tension qui tombe, me font redouter ces salles d'attentes. Petites, c'était rassurant d'aller chez notre médecin de famille, rassurant. Un vaccin, une angine, une entorse, ca nous parait être un monde, un défi a surmonter ! A 14 ans, vagabondant dans les rues de Nantes, je m'apprête a rencontrer un médecin qui changera ma vie a jamais. Des papillons me tordent le ventre. Rester concentrer, marcher Un, deux, un pied après l'autre. Ana me Crie, elle m'hurle de partir , de faire demi tour ! Elle sent le danger. La peur d'être révéler. De disparaître, qu'on veuille l'éluder. A première vue, une pédiatre n'est pas dangereuse. Mais seulement à première vue. Un entretient en tête à tête, une toux m'amenant à la voir. La gorge irritée par les vomissements, voilà un de mes secrets. J'entre , mon regard parcours la pièce. Et mince, une balance me nargue dans un coins. Je n'y échappe pas, je dois monter dessus. En grand souspoids, elle me pose des questions sur mon image de moi même. La vérité me démange les lèvres... Mais non Ana parle à ma place . " Je mange normalement. J'aime mon corps. JE VAIS BIEN" Une femme n'est pas dupe. Elle sent le mensonge. Elle dévore mes secrets, mon âme se consume. Bam, sans m'y attendre, un rendez vous avec un pédiatre spécialisé dans l'anorexie . Pourquoi ? A cet instant je pensais JE NE SUIS PAS MALADE. PAS MALADE DU TOUT. J'ai peur. Les larmes jaillissent. Ana que m'as tu fais ? Ana ne m'abandonne pas. Sauve moi , dis leur qu'on ne fait rien de mal. SAUVE MOI !Les mois s'enchainent. Un petit déjeuner vomi, un déjeuner sauté, un repas vomi. Manger, vomir, travailler, dormir. Voilà mon quotidien. Travailler à en perdre la tête, pour être la première, pour mes 18 de moyenne. Une toux persistantes, ne pas pouvoir aller en cours pendant trois semaines. Les scarifications s'intensifient. Toutes les nuits, mais personne ne le sait, a par Ana. Voilà ma drogue ; la souffrance, je me shoot à l'adrénaline. Rien ne remplacera jamais cette sensation d'une lame qui coupe ma peau. Le sang qui coule, la jouissance devant ce spectacle macabre. Soulager mon âme meurtrie par mes souffrances. Une âme qui lutte pour s'échapper de mon corps, pour me laisser une carcasse vide, pauvre humaine trop vivante. La mort suit ton ombre, attention. La date fatidique arrive. Rencontre avec docteur X , très connu. Une heure, il a abattu Ana, pour quelques instants, le temps de lire en moi comme dans un livre ouvert. Je suis sortie de ma folie quelques minutes, juste de quoi tout révéler. Les scarifications, les repas catastrophiques, les vomissements, l'envie de mourir. Les tentatives de suicides. Aussi étonnant que ça a pu être pour mes parents, j'ai essayé de mettre fin a ma vie. Enfin non, pour moi ma vie était déjà morte, je voulais juste quitter ce mode de survie, tomber dans les limbes de l'univers. Etre très malade pendant plusieurs jours, vomir, dormir, se détruire le fois. Et garder le secret de cette détresse trop enfouie. Docteur X a su m'écouter, il a perçu ce que je ne voulais pas savoir. L'anorexie mentale. Pour la première fois le diagnostic est tombé. Etat de choc. Moi, Anorexique ? Non vous vous trompez. Ca touche des écervelées, pas moi . Je suis au dessus de ça. Pas vrai ? La panique me gagne. Mon coeur bat fort, comme si il pouvait exploser de ma poitrine. Non non non non . Maman et moi nous ne voulons pas entendre, pas comprendre . Pauvre enfant, trop vite touchée par la vie, trop vulnérable . Des tas de gens meurent chaque jours, de maladies graves qu'ils n'ont pas provoquées... Je me sens alors coupable. C'est de ma faute ? C'est ce qu'Ana veut me faire comprendre. Je m'en veux. Je suffoque, de l'air, vite. Je voudrais hurler ma douleur au monde. ©
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Quelqu'un peut-il me corriger mes fautes d'orthographe sil vous plais ? " - Pourquoi as-tu demandée a me voir Yuna ? - Pourquoi ? Parce que chaque jour y a ce foutus cauchemars qui ce répète. Chaque matin mes dents claquent, elles s'entrechoquent, car la peur me ronge. Quand mon réveil sonne je ne souhaite qu'une chose: Me rendormir. Car cette vie, cette journée qui se répète sans cesse me bouffe le coeur, cette douleur si puissante me fais perdre patience. Elle me perd, m'abandonnent sur cette route humidifiée par mes larmes, a la mercis de quiconque, a la mercis de tout de monde. Mon corps, mort, étalé depuis tant d'année sur cette chaussée, écrasé par tous ces cinglés prêt a tout pour grandir et partir. Ouais ce corps, ce corps qui autrefois étais mien, n'est plus rien. Il fais partit du paysage, vous comprenez ? Je me suis lamentablement abandonnée. Voila la raison pour laquelle je vient aujourd'hui Mme. J'en ai marre de pourrir sur le coin de la route sans que personne n'y prête attention, j'en ai marre d'être là au milieux de tous mais que personne ne me remarque. - Qu'attend tu de moi, je ne peux malheureusement pas te relevée. Personne n'est en mesure de le faire Yuna, il n'y a que toi, toi seule est capable d'accomplir cette lourde tache. - Mais ça fais 5 ans Mme, 5 ans que je suis incapable de bouger, de crier, je vous l'ai dit ce corps n'est plus rien. Il est sans vie, sans envie. Il meurt car je l'ai abandonné. - Pourquoi a tu décidé de l'abandonner ? C'est ton corps, il t'appartenais,et t'appartient encore aujourd'hui. - Parce que c'était un fardeau pour moi de porter cette carcasse pleine de graisse. C'était un calvaire de me lever le matin en sachant que toute la journée j'aurais cette affreuse chose a trimballer. Je me détestais vous comprenez ? Ce corps, cette chose, je n'en voulais plus... Et voila le résultat. Aujourd'hui, je passe mes affreuses journées ici. Allongé dans ce lit d'hôpital, nourrie par ce tuyau qui passe par mon nez pour m'insérer cette graisse que j'ai voulu abandonné. Mme, je vous en supplie, aider moi... Ces murs blanc, ces gens que je voie arriver et partir, cette vielle télé, tout. Tout m'est devenus insupportable, cette routine, ces heures précisent ou les infirmières viennent voir si je suis encore en vie. Tout ça, toute ces choses que je connais par coeur, a la seconde prêt, ouais tout ça, je n'en peux plus... - Mais Yuna, nous, les psychologues nous sommes là pour t'aider, on essais temps bien que mal de te guérir. Nous faisons déjà de notre mieux, je suis désolée ma Puce, je sais très bien que ce n'est pas une vie ça. Mais... Comment te dire, il faut te battre, tout donner, mettre toutes les chances de ton cotées, être réceptive a tout, il faut que tu acceptes l'aide de tout le monde, et pas seulement la mienne... Tu verras un jours, on te relèvera. " ©Merci.
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Quelqu'un peux-t-il me corriger ceci sil vous plais ? A.N.O.R.E.X.I.E J'ai toujours voulus savoir comment vous autres, non malades, voyez celle-ci. J'en suis déçu. Déçu, et accablé de mépris. Un mépris contre cette ingratitudes, et contre votre incapacité a chercher la vérité. A tout ceux g*e*lant sur les toits que c'est ni plus ni moins qu'un choix de la personne, oui oui, c'est a vous que je parle. L'anorexie est une maladie, et même si ça vous l'avez assimilé votre crane endurcis par vos petites vie bien douce ne comprennent pas qu'une maladie ça vous tombe dessus. Vous ne choisissez rien vous perder tout controle. A tout ceux criant que l'anorexie c'est cool, que c'est beau, que c'est un phénomène de mode, a vous tous, je vous e***rde. Enfin non, j'e***rde votre incompréhension, je l'***rde et vais l'instruire un peu. L’anorexie n'est pas un poids, ce n'est pas un état physique, l'anorexie c'est mentale b*rd*l. Vous savez quand on vous répète chaque jours que vous n’êtes qu'une m*rde, eh ben vous finissez pas y croire. Vous y croyez dur comme fer, et en voulant être accepter par les autres on s'en détruit soie-même. On se déteste, ce hais. On ch*ale devant la glace le gras que vous autres ne voyez pas. A tout ceux croyant que la guérison c'est avoir un poids correcte, a tout ceux disant que ce n'est qu'une question de volonté. A tout ceux disant qu'il suffis de bo**fer normalement. Je vous hais. Enfin non, je hais votre incompétence a prendre conscience du monde dans lequel on vie. Mais alors vous allez me dire « Comment on "guérie" ? » hé-hé. Ca personne ne le sais, il n'y a pas de moyen miracle, il n'y a pas de médicament contre l'anorexie, il n'y a que les antidépresseurs censé nous évité de commettre l'inévitable, il n'y a que les visite permanente a l'hosto, il n'y a que les psychiatre, les infirmiers. La guérison ? C'est tellement loin. Il faux plusieurs années vous savez, alors ce n'est pas avec ta cuillère en plus de soupe que je serais a nouveau normal tu entends. A toute votre inconscience, je lui pris de cesser cet indifférence. Dysmorphie. Anorexie. Boulimie. G*che*rs de vie. ©
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