Voici ci joins un passage du carnet de voyage que je doit faire pour le francais. Si quelqu'un aurais le courage de corriger les fautes se serais adorable.. 19 points.
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angels33
[...] changerez grâce à ce voyage a jamais gravé dans l'humanité. [...] sortant du combiner du téléphone me glaça le cœur. Mes jambes ce mirent à trembler, mes dents à s'entre-choquer. Pendant de longues minutes je suis restée figée, incapable de prononcer le moindre mots. Mes pensées, mes sentiments, et mes souvenirs se bousculaient, se mélangeaient complètement. Tant de bons moments passé avec lui, mais tant d'autres qui ne pourront pas être vécus. Le lendemain je me suis rendue chez lui pour vider cette maison dans laquelle il avait passé tant d’années. Elle était débordante de souvenirs. Chaque meubles, chaque objets que ma mère et moi devions mettre dans cette ben puant l'oublie et les souvenirs détruits, nous terrifiais. Car peu à peu je réalisais que s'était fini, que sa vie avait prit fin, et qu'un bout de la mienne également... Il ne restait plus qu'un petit meuble dans cette merveilleuse maison, il ne restait plus que ce vieu fauteuil dans lequel il avait passé la moitié de sa vie à lire des livres, et à en écrire. Je me souviens que je pouvais passer des heures entières assise sur ses genoux à le regarder pénétrer dans ses livres... C'est ma mère qui l'emmena, moi j'en étais incapable. Ce fauteuil était le symbole même de mon heureuse et innocente enfance. Mais au fur et à mesure que maman le faisait glisser sur le sol en direction du camion, un petit bouquin tout poussiéreux se laissait apercevoir. Je le pris, dessus était inscris en grandes lettres « L'histoire de ma vie, la Nouvelle-Calédonie ». Je le feuilletai longuement, et compris que c'était un des livres qu'il avait écrit, c'était le seul qui restait, c’était le seul qui parlait vraiment de lui. Voilà comment je choisis d'y aller aussi, voilà comment commença l'histoire de ma vie à moi aussi. 17 Janvier 2012. Valises faites, avion en vole: A moi la Nouvelle-Calédonie ! Cette fois-ci c'est bon, j'y suis, l'avion se pose, et mon envie de découverte implose au fond de moi. Je suis enfin arrivée à Nouméa, la capital de cette île regorgeant de merveilles. Maintenant plus rien ne me retiens de vivre pleinement, car ici tu as trouvé le bonheur toi Papy,alors je vais suivre tes traces, je vais vivre ce que tu as vécu, je vais suivre l'histoire de ta vie, afin d'écrire moi aussi la mienne. Dans chacun de tes pas je vais marcher, même si ici je t'avoue que tout a changé. Les palmiers a perte de vus on été remplacés par des immeubles, les petites maisonnettes en bois, sont à présent en pierre. C'est jolie certes, mais c'est totalement différent de la description que tu m'as laissés Papy. Tout est si grand et si vaste ici, Marseille n'est rien à coté de cette ville où il fait 39°C. Il fait si chaud. Je suis un peu perdu je t'avoue... Mais il faut que je me ressaisisse, je dois trouver cette tribu, les Tao, comme tu l'as écris dans ton livre. D’après celui-ci cette tribu se trouve, ou se trouvait, à Hienghene. Mon guide touristique m'indique qu'il faut cinq longues heures de voiture avant d'y être... Ça va être long ! Un taxi accepte de me prendre en route, direction le bonheur Papy, c'est pour toi que je fais ça. Une fois arrivée là-bas je me trouverais un hôtel, je ne suis pas fatiguée mais de toute façon il fera nuit,alors autant se reposer, non ? 18 Janvier 2012. Voilà une bonne nuit de passée, les rêves ont alimenté ma nuit. Mon programme pour aujourd'hui ? Rencontrer ta tribu Papy, d’après ta carte elle se situe, ou se situait dans la vaste forêt de Hienghene. C'est à peine croyable qu'une forêt réside tout près d'ici, tout près de ces buildings, et de ces innombrables voitures. Je sort une de ces multiples listes que j'ai minutieusement faites durant le voyage. On peut dire que le jour ou j'oublierais quelque chose n'est pas prêt d'arrivée ; je prévois toujours tout en avance, je déteste quand quelque chose me tombe à l'improviste, alors je fais des listes. Celle-ci s'intitule « Affaire à emmener pour une expédition ». Après avoir vérifiée mainte et mainte fois mon sac, je décide de partir. Je marche en direction du nord, sous cette chaleur étouffante, me repairent ( me repaire ou me repairant ? ) grâce aux indications données dans ton journal. D'ailleurs à ce moment même je devrais apercevoir un énorme drapeau jaune, mais à travers cette imposante verdure je ne voie rien. Peut-être n'existent-ils plus ? Comment est-ce possible qu'une tribu au XIXe siècle soie toujours inconnu du monde touristique ? Cela me paraît absurde, je commence à avoir peur de devoir tout abandonner... Et me voilà perdu Papy, je suis au beau milieu d'une forêt je n'ai aucun moyen de repaire, tout est vert. Et ce réseau que je ne capte même pas avec mon téléphone portable. Pourquoi n'y ai-je pas pensé a ça, hein ? Je continue de marcher, avec cette allure de fille angoissée. Je marche, marche, pendant des heures, mais rien n'y fais je ne voie personne. De plus, la nuit commence à tomber, je ne compte pas dormir seule dans cette foret désertée entre les rugissement, et tout ces bruits qui me sont étranger.
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[...] sortant du combiner du téléphone me glaça le cœur. Mes jambes ce mirent à trembler, mes dents à s'entre-choquer. Pendant de longues minutes je suis restée figée, incapable de prononcer le moindre mots. Mes pensées, mes sentiments, et mes souvenirs se bousculaient, se mélangeaient complètement. Tant de bons moments passé avec lui, mais tant d'autres qui ne pourront pas être vécus. Le lendemain je me suis rendue chez lui pour vider cette maison dans laquelle il avait passé tant d’années. Elle était débordante de souvenirs. Chaque meubles, chaque objets que ma mère et moi devions mettre dans cette ben puant l'oublie et les souvenirs détruits, nous terrifiais. Car peu à peu je réalisais que s'était fini, que sa vie avait prit fin, et qu'un bout de la mienne également... Il ne restait plus qu'un petit meuble dans cette merveilleuse maison, il ne restait plus que ce vieu fauteuil dans lequel il avait passé la moitié de sa vie à lire des livres, et à en écrire. Je me souviens que je pouvais passer des heures entières assise sur ses genoux à le regarder pénétrer dans ses livres... C'est ma mère qui l'emmena, moi j'en étais incapable. Ce fauteuil était le symbole même de mon heureuse et innocente enfance. Mais au fur et à mesure que maman le faisait glisser sur le sol en direction du camion, un petit bouquin tout poussiéreux se laissait apercevoir. Je le pris, dessus était inscris en grandes lettres « L'histoire de ma vie, la Nouvelle-Calédonie ». Je le feuilletai longuement, et compris que c'était un des livres qu'il avait écrit, c'était le seul qui restait, c’était le seul qui parlait vraiment de lui.
Voilà comment je choisis d'y aller aussi, voilà comment commença l'histoire de ma vie à moi aussi.
17 Janvier 2012. Valises faites, avion en vole: A moi la Nouvelle-Calédonie ! Cette fois-ci c'est bon, j'y suis, l'avion se pose, et mon envie de découverte implose au fond de moi. Je suis enfin arrivée à Nouméa, la capital de cette île regorgeant de merveilles. Maintenant plus rien ne me retiens de vivre pleinement, car ici tu as trouvé le bonheur toi Papy,alors je vais suivre tes traces, je vais vivre ce que tu as vécu, je vais suivre l'histoire de ta vie, afin d'écrire moi aussi la mienne. Dans chacun de tes pas je vais marcher, même si ici je t'avoue que tout a changé. Les palmiers a perte de vus on été remplacés par des immeubles, les petites maisonnettes en bois, sont à présent en pierre. C'est jolie certes, mais c'est totalement différent de la description que tu m'as laissés Papy. Tout est si grand et si vaste ici, Marseille n'est rien à coté de cette ville où il fait 39°C. Il fait si chaud. Je suis un peu perdu je t'avoue... Mais il faut que je me ressaisisse, je dois trouver cette tribu, les Tao, comme tu l'as écris dans ton livre. D’après celui-ci cette tribu se trouve, ou se trouvait, à Hienghene. Mon guide touristique m'indique qu'il faut cinq longues heures de voiture avant d'y être... Ça va être long ! Un taxi accepte de me prendre en route, direction le bonheur Papy, c'est pour toi que je fais ça. Une fois arrivée là-bas je me trouverais un hôtel, je ne suis pas fatiguée mais de toute façon il fera nuit,alors autant se reposer, non ?
18 Janvier 2012. Voilà une bonne nuit de passée, les rêves ont alimenté ma nuit. Mon programme pour aujourd'hui ? Rencontrer ta tribu Papy, d’après ta carte elle se situe, ou se situait dans la vaste forêt de Hienghene. C'est à peine croyable qu'une forêt réside tout près d'ici, tout près de ces buildings, et de ces innombrables voitures. Je sort une de ces multiples listes que j'ai minutieusement faites durant le voyage. On peut dire que le jour ou j'oublierais quelque chose n'est pas prêt d'arrivée ; je prévois toujours tout en avance, je déteste quand quelque chose me tombe à l'improviste, alors je fais des listes. Celle-ci s'intitule « Affaire à emmener pour une expédition ». Après avoir vérifiée mainte et mainte fois mon sac, je décide de partir. Je marche en direction du nord, sous cette chaleur étouffante, me repairent ( me repaire ou me repairant ? ) grâce aux indications données dans ton journal. D'ailleurs à ce moment même je devrais apercevoir un énorme drapeau jaune, mais à travers cette imposante verdure je ne voie rien. Peut-être n'existent-ils plus ? Comment est-ce possible qu'une tribu au XIXe siècle soie toujours inconnu du monde touristique ? Cela me paraît absurde, je commence à avoir peur de devoir tout abandonner... Et me voilà perdu Papy, je suis au beau milieu d'une forêt je n'ai aucun moyen de repaire, tout est vert. Et ce réseau que je ne capte même pas avec mon téléphone portable. Pourquoi n'y ai-je pas pensé a ça, hein ? Je continue de marcher, avec cette allure de fille angoissée. Je marche, marche, pendant des heures, mais rien n'y fais je ne voie personne. De plus, la nuit commence à tomber, je ne compte pas dormir seule dans cette foret désertée entre les rugissement, et tout ces bruits qui me sont étranger.