Bonjour urgent SVT 5eme qui pourrait m'aider svp: Les eaux usées rejetées par les égouts sont riches en matière organique.Ce rejet entraîne des modifications dans la rivière présentées dans le document ci-contre. Les larves de perles et d'éphémères(Insectes)aiment les eaux propres et riches en dioxygène. Le ver de vase n'est pas exigeant,il tolère les eaux polluées et pauvres en dioxygène. L'aselle et la limnée supportent une légère pollution organique. Les bactéries présentes dans les eaux d'égouts se nourrissent de matière organique et utilisent du dioxygène pour respirer.Si la nourriture est abondante,elles se multiplient toutes les 30 minutes et deviennent rapidement très nombreuses 1) Quelles sont les 4 grandes modifications causées par l'arrivée de l'eau de l'égout dans la rivière? 2) Expliquez la diminution de dioxygène dissous dans l'eau au niveau de l'arrivée des eaux de l'égout. 3) Pourquoi ne trouve-t-on pas de larves de perles et d'éphémère au niveau du rejet des eaux de l'égout? 4) Peut-on utiliser des espèces vivantes pour découvrir le degré de pollution d'une rivière? Pourquoi? 5) Quelles sont les espèces indicatrices d'une pollution par la matière organique? 6) Pourquoi un égout n'entraîne-t-il qu'une pollution localisée? 7) Quelle est alors l'utilité d'une station d'épuration qui collecte les eaux de plusieurs égouts? 8) Que doit contenir l'eau de la station d'épuration pour remplir son rôle(dégrader la matière organique)?
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Uurgent français 5eme faire un ciurt résumé de 6 ou 7 lignes max:Le vieux peintre Wang-Fô et son disciple Ling vagabondaient le long des routes du royaume des Han. Le royaume des Han : c'était le nom qu'en ce temps-là on donnait à la Grande Chine.Personne ne peignait mieux que Wang-Fô les montagnes sortant du brouillard, les lacs avec des vols de libellules, et les grandes houles du Pacifique vues des côtes. On disait que ses images saintes exauçaient d'emblée les prières ; quand il peignait un cheval, il fallait toujours qu'il le montrât attaché à un piquet ou tenu par une bride, sans quoi le cheval s'échappait au grand galop du tableau pour ne plus revenir. Les voleurs n'osaient pas entrer chez les gens pour qui Wang-Fô avait peint un chien de garde.Wang-Fô aurait dû être riche, mais il aimait mieux donner que vendre. Il distribuait ses peintures à ceux qui les appréciaient vraiment, ou bien les troquait contre un bol de nourriture. Il ne chérissait que ses pinceaux, ses rouleaux de soie ou de papier de riz, et ses petits bâtons d'encres de diverses couleurs qu'il frottait contre une pierre pour en mélanger la poudre avec un peu d'eau.Ling, en échange de ses leçons, lui donnait tous les soins qu'un disciple doit à son maître. Il mendiait du riz quand Wang et lui étaient à court de piécettes d'argent ; et, quand les gens étaient trop avares pour donner, il volait. Il massait le soir les pieds fatigués du vieux, et, le matin, il se levait de très bonne heure pour aller voir aux alentours s'il n'y avait pas un paysage que le maître aimerait peindre.Un soir, au soleil couchant, ils atteignirent les faubourgs de la capitale, et Ling chercha pour Wang-Fô une auberge où passer la nuit. Le vieux s'enveloppa dans des loques et Ling se coucha contre lui pour le réchauffer, car le printemps commençait à peine, et le sol de terre battue était encore gelé. Ling souffrait de la saleté de l'auberge, mais le vieux s'enchantait des ombres tremblotantes qu'une maigre lampe jetait sur les murs et des étranges dessins que faisaient au plafond les traces de la suie.A l'aube, des pas lourds retentirent dans les corridors, et des commandements criés en langue barbare. Ling frémit, se rappelant qu'il avait volé la veille un gâteau pour le repas du maître. Ne doutant pas qu'on ne vînt l'arrêter, il se demanda qui aiderait demain le vieux à passer le gué du prochain fleuve.Les soldats entrèrent avec des lanternes. La flamme filtrant à travers le papier bariolé mettait sur leurs visages des reflets rouges, jaunes et bleus. Ils rugissaient comme des bêtes fauves et la corde de leur arc vibrait à chaque cri. L'un d'eux posa rudement la main sur la nuque de Wang-Fô, qui ne pouvait s'empêcher d'admirer la broderie de leurs manteaux.Soutenu par son disciple, Wang-Fô les suivit en trébuchant le long des routes inégales. Les passants attroupés se moquaient de ces voleurs qu'on menait sans doute exécuter. A toutes les questions de Wang les soldats répondaient par une grimace sauvage. Ses mains ligotées souffraient, et Ling désolé regardait son maître en souriant, ce qui était pour lui une façon plus tendre de pleurer.lls arrivèrent sur le seuil du palais impérial, dont les murs violets mettaient en plein jour un pan de crépuscule. Les soldats firent franchir à Wang-Fô des salles rondes ou carrées dont les formes symbolisaient les saisons, les points cardinaux, la lune et le soleil, la longévité et la Toute-Puissance. Les portes tournaient sur elles-mêmes en émettant des notes de musique et leur agencement était tel qu'on parcourait toute la gamme en traversant le palais de l'aube au couchant. Enfin, le silence devint si grand qu'on osait à peine respirer ; un esclave souleva un rideau, et la petite troupe entra dans la salle où trônait le Fils du Ciel.C'était une grande pièce soutenue seulement par d'épaisses colonnes de pierres bleues. Un jardin s'épanouissait tout autour, et chaque fleur de ses bosquets appartenait à une espèce rare venue d'au-delà les océans. Mais elles étaient sans parfum, de peur que les méditations du Dragon Céleste ne fussent troublées par les bonnes odeurs. Un mur énorme séparait le jardin du reste du monde, afin que le vent qui passe sur les quartiers des pauvres et les champs de bataille ne pût se permettre de frôler la manche de l'Empereur.Le Maître Céleste était assis sur un trône de jade, et ses mains étaient ridées comme celles d'un vieillard, bien qu'il eût à peine vingt ans. Comme ses courtisans, rangés au pied des colonnes, tendaient l'oreille pour recueillir le moindre mot sorti de ses lèvres, il avait pris l'habitude de parler toujours à voix basse. – Dragon Céleste, dit Wang-Fô prosterné, je suis vieux, je suis pauvre, je suis faible. Tu es comme l'été ; je suis comme l'hiver. Tu as Dix Mille Vies ; je n'en ai qu'une, et qui va finir. Que t'ai-je fait ? On a lié mes mains, qui ne t'ont jamais nui. – - Tu me demandes ce que tu m'as fait, vieux Wang-Fô ? dit l'Empereur.
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Urgent francia sfaire un court résumé de 6 ou 7 lignes maxLe vieux peintre Wang-Fô et son disciple Ling vagabondaient le long des routes du royaume des Han. Le royaume des Han : c'était le nom qu'en ce temps-là on donnait à la Grande Chine. Personne ne peignait mieux que Wang-Fô les montagnes sortant du brouillard, les lacs avec des vols de libellules, et les grandes houles du Pacifique vues des côtes. On disait que ses images saintes exauçaient d'emblée les prières; quand il peignait un cheval, il fallait toujours qu'il le montrât attaché à un piquet ou tenu par une bride, sans quoi le cheval s'échappait au grand galop du tableau pour ne plus revenir. [...] Un soir, des soldats vinrent chercher Wang-Fô et Ling et les emmenèrent brutalement au palais impérial... Le Maître Céleste était assis sur un trône de jade, et ses mains étaient ridées comme celles d'un vieillard, bien qu'il eût à peine vingt ans. Comme ses courtisans, rangés au pied des colonnes, tendaient l'oreille pour recueillir le moindre mot sorti de ses lèvres, il avait pris l'habitude de parler toujours à voix basse. - Dragon Céleste, dit Wang-Fô, prosterné, je suis vieux, je suis pauvre, je suis faible. Tu es comme l'été; je suis comme l'hiver. Tu as Dix Mille Vies; je n'en ai qu'une, et qui va finir. Que t'ai-je fait ? On a lié mes mains, qui ne t'ont jamais nui. - Tu me demandes ce que tu m'as fait, vieux Wang-Fô ? dit l'Empereur.
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Tres tres urgent Physique chimie 5eme Exercice 1:Certains colorants chimiques contenus dans les bonbons ont été reportés dans le tableau ci-dessous: Couleur Nom Code D.J.A(mg/kg) jaune tartrazine E102 7,5 rouge azorubine E122 2 rouge rouge chenille E124 0,15 bleu bleu patenté E131 2,5 brun caramel E150 250 noir noir brillant E151 1 1)A l'aide du tableau ci-dessous identifie certains colorants présents dans ces bonbons. 2)La dernière colonne du tableau indique la dose maximale en milligramme par kilogramme(mg/kg) de masse corporelle ou D.J.A. Pour calculer la quantité maximale d'un colorant que l'on peut absorber sans danger on multiplie sa propre masse par la D.J.A du colorant.Benjamin adore les bonbons bleus.Il pèse 50 kg et il sait qu'un des ses bonbons favoris contient 5mg de colorant bleu.a)Quelle quantité de colorant bleu peut-il absorber par jour? b)Quel est le nombre de bonbons bleu qu'il ne doit pas dépasser par jour? Exercice 2: En cours de SVT clara a appris que les feuilles des arbres contiennent de la chlorophylle.Elle souhaite savoir de quoi est composée cette substance.Pour cela elle effectue une chromatographie et voit apparaître des tâches vertes,jaunes et orange.1)Déduis-en la couleur des trois substances colorées contenus dans chlorophylle.On les appelle des pigments. 2)Pendant quelles saisons chacun de ses pigments est-il visible? Exercice 3:On mélange de l'eau,du sel et du sable fin.Comment peut-on séparer les trois constituants de ce mélange?Pour chacune des deux techniques utilisées fais un schéma légendé
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