Salut vous pouvez m'aider svp ? Il va falloir lire le texte puis répondre a 2 questions : 1.a. Qu'apprend-on sur Circé et sa demeure ? Répondez en citant le texte et en relevant une épithète homérique. b. De quelle autre figure féminine de l'Odysée pouvez-vous la rapprocher ? Pourquoi ?                                              Ulysse chez CircéCertains compagnons d'Ulysse ne sont pas revenus de leur exploration sur l'île de Circé. Ulysse, parti à leur recherche, rencontre le dieu Hermès qui le met en garde contre Circé, lui remet un contrepoison et lui donne des conseils. Je me dirigeai vers la demeure de Circé, et dans ma marche, mille pensées troublaient mon coeur. Je m'arrêtai à la porte de la déesse aux belles boucles. Restant à cet endroit, je criai, et la déesse entendit ma voix. Elle sortit aussitôt, ouvrit la porte brillante et m'invita. Quant à moi, je la suivis, le coeur affligé. Elle m'introduisit puis me fit asseoir sur un siège aux clous d'argent, beau et artistement travaillé ; sous mes pieds se trouvait un tabouret. Elle me prépara un breuvage dans une coupe d'or, m'invitant à boire, y jeta un poison, méditant mon malheur. Mais, quand elle me l'eut donnée et que je l'eus vidée, je ne ressentis aucun effet. Alors, elle ma frappa de sa baguette, me parla et m'appela : " Viens maintenant à l'étable à porcs, et couche-toi avec tes compagnons." Ainsi parla-t-elle, mais moi, je tirai du long de ma cuisse mon épée aiguë et m'élançai sur Circé, comme si je la tuer. Elle poussa un grand cri, se jeta à mes genoux, les prit, et, gémissante, m'adressa ces paroles ailées : " Qui donc es-tu ? D'où viens-tu ? Quels sont ta cité et tes parents ? L'étonnement me saisit car bien qu'ayant bu cette drogue, tu n'as pas été ensorcelé ; et jamais aucun autre homme n'a résisté à ce poison, quand il l'a bu et que celui-ci a franchi la barrière de ses dents. Tu as en toi un esprit rebelle aux sortilèges. Tu es donc Ulysse aux mille ruses, celui dont Hermès, le messager rapide à la baguette d'or, me prédisait toujours qu'il viendrait lors de son retour de Troie sur son rapide vaisseau noir. Mais, allons ! Remets donc ton épée au fourreau, et ensuite, allons dans mon lit, afin de nous unir d'amour et d'avoir désormais une mutuelle confiance." Ainsi parla-t-elle, mais moi, je lui répliquai : " Ô Circé, comment peux-tu m'ordonner d'être aimable avec toi, toi qui, dans ton palais, as changé mes compagnons en porcs ? Toi qui me retiens ici et cherches à ma tromper en m'invitant à entrer dans ta chambre, à monter dans ton lit pour me tendre de lâches pièges une fois que je serais nu. Mais moi, je ne saurais consentir à monter dans ton lit, si tu n'acceptais pas, déesse, de t'engager par un grand serment à ne point me tendre un nouveau piège." Ainsi parlai-je, et aussitôt elle jura de s'en abstenir, comme je le demandais.
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Coucou il faut lire le texte puis répondre aux questions : Texte: Et moi, je reste dans la grotte, méditant ma vengeance. Je taille en pointe un énorme tronc d'un olivier verdoyant placé par le Cyclope dans l'étable ; je l'endurcis encore en l'exposant à la flamme étincelante. Nous tirons au sort ceux qui plongeront ce pieu dans l'oeil du Cyclope pendant son sommeil. Le soir, le géant revient en conduisant ses brebis à la belle toison ; il pousse dans la grotte ses troupeaux. Il soulève l'énorme roche, la replace à l'entrée de sa caverne, s'assied, trait ses brebis et ses chèvres bêlantes, et rend les agneaux à leurs mères ; puis il saisit de nouveau deux de mes compagnons et les mange. Alors je m'approche du monstre, en tenant une coupe remplie d'un vin aux sombres couleurs, et je lui dis : << Tiens, Cyclope, bois de ce vin, puisque tu viens de manger de la chair humaine. >> Le monstre prend la coupe, et boit ; ce doux breuvage lui plaît tant qu'il m'en demande une seconde fois : << Verse-moi encore de ce vin délectable, et dis-moi quel est ton nom, afin que je te donne, comme étranger, un présent qui te réjouisse. >> Trois fois j'en donne au Cyclope, et trois fois il en boit outre mesure. Aussitôt que le vin s'est emparé de son esprit, je lui adresse ces douces paroles : << Cyclope, tu me demandes mon nom ; je vais te le dire ; mais fais-moi le présent de l'hospitalité comme tu me l'as promis. Mon nom est Personne : c'est ainsi que m'appellent mon père et ma mère, et tous mes fidèles compagnons. >> Le monstre cruel me répond : << Personne, lorsque j'aurai dévoré tous tes compagnons, je te mangerai le dernier : tel sera pour toi la présent de l'hospitalité. >> Le Cyclope tombe à la renverse, dompté par le sommeil. Ivre, il vomit le vin et les morceaux de chair humaine. Je chauffe alors le pieu dans la cendre et rassure mes compagnons. Quand le tronc d'olivier est assez chauffé, je le retire tout brûlant du feu. Mes amis saisissent le pieu pointu, l'enfoncent dans l'oeil du Cyclope, et je le fais tourner en appuyant dessus avec force. Le sang chaud en jaillit, la vapeur de la pupille ardente brûle ses paupières et son sourcil. Le monstre pousse des hurlements affreux qui font retentir la caverne. Nous nous enfuyons, épouvantés. Le monstre appelle à grands cris les Cyclopes voisins. Ceux-ci, à son cri, accourent, entourent sa caverne et lui demandent ce qui le tourmente : << Pourquoi, Polyphème, pousses-tu de telles clameurs dans la nuit divine et nous réveilles-tu ? T'a-t-on volé tes brebis ? Quelqu'un veut-il te tuer par force ou par ruse ? >> Et le robuste Polyphème leur répond du fond de son antre : << Ô amis, c'est Personne qui me tue par ruse et non par force. >> Ils lui répondent ainsi : << Si personne ne te fait violence, puisque tu es seul, tu souffres donc de folie : c'est ton père Poséidon qu'il faut supplier. >> Et moi, je ris au fond de moi car mon nom et ma ruse les avaient parfaitement trompés.Questions:1. Relevez les épithètes homériques qui caractérisent les paroles d'Ulysse.2. Quelle ruse Ulysse imagine-t-il : a. pour endormir le Cyclope ?b. pour ne pas être démasqués par les autres Cyclopes ?3. Comment Ulysse affaiblit-il le Cyclope ? Pour quelle(s) raison(s) agit-il ainsi, selon vous ?4. En grec, le même mot signifie "personne" et "ruse" : expliquez en quoi l'emploie de ce nom par Ulysse est particulièrement bien choisi ici.5. De quelle autre qualité le héros Ulysse fait-il preuve dans ce passage ? Justifiez
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Coucou il faut lire le texte puis répondre a la question: Texte: Notre coeur se brise d'effroi en entendant la voix terrible du monstre. Mais je parviens à lui dire : << Nous sommes grecs, et nous revenons de Troie. Des vents contraires nous ont ballottés sur les flots, et nous nous sommes perdus. Nous venons à toi , comme des suppliants. >> Le cruel Cyclope me répond : << Etranger, tu es bien naïf si tu crois que je vais vous épargner. Dis-moi plutôt où tu as laissé ton navire. >> J'évite son piège, et lui réponds à mon tour par ces paroles trompeuses : << Poséidon, le dieu qui ébranle la terre, a brisé mon navire en le jetant contre un rocher. >> Le Cyclope au coeur cruel ne répond rien, se lève brusquement, saisit deux de mes compagnons et les écrase contre la pierre de la grotte. Il déchire leurs membres palpitants, prépare son repas, et, semblable au lion des montagnes, il dévore les chairs et les entrailles. A cette vue, le désespoir s'empare de nos âmes. Quand le Cyclope a rempli son vaste ventre de ces chairs humaines, il boit un lait pur, se couche dans la caverne, et s'étend au milieu de ses troupeaux, pendant que nous gémissons. Le lendemain, quand paraît l'Aurore aux doigts de roses, le Cyclope allume de nouveau son bois desséché, saisit deux autres compagnons et les dévore. Puis le monstre pousse hors de l'antre ses grasses brebis ; il enlève sans effort la roche immense de la porte, et il la remet ensuite aussi facilement qu'il aurait placé le couvercle d'un carquois.Question: 5. Expliquez, avec vos propres mots, en quoi consiste la première ruse d'Ulysse.
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