a)Les conséquences désastreuses de l'orpaillage illégal
Des rivières et des forêts condamnées par l’activité aurifère illégale : Le massif forestier du Plateau des Guyanes constitue le plus grand massif forestier tropical continu encore relativement intact mais en l’espace de 20 ans, l’orpaillage incontrôlé y est devenu le premier facteur de dégradation environnementale. Depuis 2001, 157 000 ha de forêt ont été détruits par l'extraction de l'or, et 72% de cette dégradation est apparue depuis 2008. Le Suriname et le Guyana concentrent l'essentiel de cette déforestation.
b)Comme les chasseurs-cueilleurs qui ont tué un Américain mi-novembre sur une île indienne, des Amérindiens d'Amazonie refusent tout contact avec le monde extérieur. Mais les trafiquants de drogue, l'exploitation minière et la déforestation illégales représentent des menaces toujours plus grandes.
Le Pérou, dont la moitié du territoire est couvert par la forêt amazonienne, est un des rares pays dans le monde où vivent des peuples autochtones, qui pour certains refusent d'entrer en contact avec le reste de la société.
Selon le ministère de la Culture, l'Amazonie péruvienne compte 16 communautés amérindiennes, soit environ 4.500 personnes, vivant en situation d'isolement volontaire. Parmi elles, les Mashco-piro, Cacataibos, Isconahuas, Matsigenkas, Mastanahuas...
Trois autres communautés, soit 2.500 personnes, sont en situation de "contact initial" avec le monde extérieur.
Toutes vivent dans des réserves situées dans les régions de Ucayali, Madre de Dios et Cusc, dans l'est du pays.
Les contacts de ces peuples isolés avec des personnes de l'extérieur sont difficiles et parfois violents, à l'image des Sentinelles, des chasseurs-cueilleurs qui vivent depuis des siècles en autarcie sur une île indienne et ont tué le 16 novembre un Américain de 27 ans souhaitant les évangéliser.
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a)Les conséquences désastreuses de l'orpaillage illégal
Des rivières et des forêts condamnées par l’activité aurifère illégale : Le massif forestier du Plateau des Guyanes constitue le plus grand massif forestier tropical continu encore relativement intact mais en l’espace de 20 ans, l’orpaillage incontrôlé y est devenu le premier facteur de dégradation environnementale. Depuis 2001, 157 000 ha de forêt ont été détruits par l'extraction de l'or, et 72% de cette dégradation est apparue depuis 2008. Le Suriname et le Guyana concentrent l'essentiel de cette déforestation.
b)Comme les chasseurs-cueilleurs qui ont tué un Américain mi-novembre sur une île indienne, des Amérindiens d'Amazonie refusent tout contact avec le monde extérieur. Mais les trafiquants de drogue, l'exploitation minière et la déforestation illégales représentent des menaces toujours plus grandes.
Le Pérou, dont la moitié du territoire est couvert par la forêt amazonienne, est un des rares pays dans le monde où vivent des peuples autochtones, qui pour certains refusent d'entrer en contact avec le reste de la société.
Selon le ministère de la Culture, l'Amazonie péruvienne compte 16 communautés amérindiennes, soit environ 4.500 personnes, vivant en situation d'isolement volontaire. Parmi elles, les Mashco-piro, Cacataibos, Isconahuas, Matsigenkas, Mastanahuas...
Trois autres communautés, soit 2.500 personnes, sont en situation de "contact initial" avec le monde extérieur.
Toutes vivent dans des réserves situées dans les régions de Ucayali, Madre de Dios et Cusc, dans l'est du pays.
Les contacts de ces peuples isolés avec des personnes de l'extérieur sont difficiles et parfois violents, à l'image des Sentinelles, des chasseurs-cueilleurs qui vivent depuis des siècles en autarcie sur une île indienne et ont tué le 16 novembre un Américain de 27 ans souhaitant les évangéliser.
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