Bonjour, pouvez-vous m'aider à trouver seulement les procédés employées par Marguerite Duras pour insister sur le temps qui passe et expliquer . Merci d'avance!
Dans son texte, marguerite Duras commente de manière émouvante les marques que le temps imprime sur son visage.
Elle semble obnubilée par les métamorphoses qu'il subit au cours de la fuite des années.
Ces observations l'amènent à éprouver, à certains moments, des ressentis positifs mais, le plus souvent, elle les considère comme étant des dégradations.
Elle utilise des mots, souvent des adverbes, qui évoquent le temps : déjà, toujours, maintenant, jamais, très vite, trop tard...
Le vieillissement de son visage l'amène à employer des adjectifs qui traduisent son impuissance face à tous ces changements : cassée, dévasté, détruit ,imprévu, brutal, cassures, affaissé, triste.....
Pour marquer le temps qui a passé, elle utilise le plus souvent l'imparfait et le passé composé, elle évite le passé simple.
La fuite inexorable du temps dont les ravages s'impriment cruellement sur son corps semble l'obséder... elle termine son texte par une constatation impitoyable qu'elle traduit par un présent assez brutal : " J'ai un visage détruit ".
J'espère avoir pu t'aider. Bon courage.
2 votes Thanks 1
robin96
Non je veux dire, qu'il faut faire la même chose pour répondre à cette question (trouver au moins 3 procédés et les expliquer selon le texte). Je trouve que vous avez extrêmement bien répondu à la question précédente "comment M.D a-t-elle insisté sur le temps qui passe? C'est pour cela que je vous demande de répondre à cette nouvelle question " "comment Marguerite Duras a t-elle fait de son visage l’élément centrale du texte?" Si cela ne vous dérange pas bien entendu.
pancrinol
Les effets littéraires utilisés pour le temps qui passe sont les mêmes qui sont employés pour décrire les transformations de son visage, les 2 éléments sont liés pour exprimer la même idée : les ravages du temps détruisent mon visage.
robin96
Mais les procédés ne sont pas les mêmes, si?
pancrinol
Les 2 éléments se développent en parallèle. A la 3e ligne on la trouve '' belle '', à la dernière ligne son visage est '' détruit ''... ces 2 adjectifs opposés commencent et achèvent la description des ravages du temps sur le visage qui est l'élément central du texte.
robin96
est ce que vous pouvez donner tout ces éléments là avec plus de précision et de procéder sur la questions (si vous cliquer sur mon profil c'est la toute première question. Je vous en supplie c'est un devoir coefficient 6 et personne dans mon entourage ne peux m'aider!!!
pancrinol
Ce n'est pas si compliqué que cela paraît. Tu peux dire, en gros, que les mots utilisés pour qualifier le temps sont surtout les adverbes. Quand aux mots qui qualifient les ravages opérés sur le visage, ce sont surtout des adjectifs, il te suffit de lire et de les relever. Voilà.
robin96
Oui mais est-ce que vous pouvez justifier tout cela comme avec la réponse précédente c'est vraiment, important c'est un devoir coefficient 6. Je vous en supplie c'est pour demain
robin96
Si vous vouler je peux meme postée une nouvelle question je vous en supplie
pancrinol
Je ne vois pas ce que je pourrais t'expliquer de plus, je pense que tout a été dit et expliqué.
robin96
s'il vous plaît et se que vous pouvez apporter une réponse construite avec cette question là (les procédés+explications) si vous cliquez sur mon profile c'est la toute 1ere question c'est important s'il vous plaît !
Lista de comentários
Verified answer
Bonjour.
Dans son texte, marguerite Duras commente de manière émouvante les marques que le temps imprime sur son visage.
Elle semble obnubilée par les métamorphoses qu'il subit au cours de la fuite des années.
Ces observations l'amènent à éprouver, à certains moments, des ressentis positifs mais, le plus souvent, elle les considère comme étant des dégradations.
Elle utilise des mots, souvent des adverbes, qui évoquent le temps : déjà, toujours, maintenant, jamais, très vite, trop tard...
Le vieillissement de son visage l'amène à employer des adjectifs qui traduisent son impuissance face à tous ces changements : cassée, dévasté, détruit ,imprévu, brutal, cassures, affaissé, triste.....
Pour marquer le temps qui a passé, elle utilise le plus souvent l'imparfait et le passé composé, elle évite le passé simple.
La fuite inexorable du temps dont les ravages s'impriment cruellement sur son corps semble l'obséder... elle termine son texte par une constatation impitoyable qu'elle traduit par un présent assez brutal : " J'ai un visage détruit ".
J'espère avoir pu t'aider. Bon courage.