bonjour pouvez vous trouvez les métaphores, antithèses et amplifications dans ce texte svp? Je reliai entre elles les parcelles forestières, traquant les vestiges des chemins noirs. C'est un destin de bête que de naviguer de bosquets en taillis. Avant la hache de pierre des sociétés défricheuses, nos ancêtres avaient connu des déplacements dangereux, de grottes en abris, sauts de puces au milieu des océans forestiers où 5 vaquaient les hyènes. Puis l'homme avait soumis le monde et l'équation s'était inversée : désormais la forêt était en miettes et c'était au tour des animaux de chercher ce qu'il restait de caches dans un espace ouvert. Un archipel en négatif s'était dessiné. [...] L’IGN* ne signalait pas tous les chemins privés. Quand je passai devant une 10 parcelle grillagée où les écriteaux annonçaient un « verger sous surveillance », je compris que j'étais entré dans l'orbites de la ville. Tours approchait. Des villes comme des planètes : leur gravitation attire les météores mais à trop s'en approcher on entre dans les zones de turbulence. [...] Le plateau entre l'Indre et le Cher se mouchetait de lotissements, de hangars, 15 de ronds-points. Voilà deux mois que je baguenaudais entre ce mobilier, tâchant de le masquer à ma vue. Cette fois je n'y parvenais plus. Les chemins noirs avaient au moins cette vertu : ils sinuaient entre les verrues des plans d'occupation des sols. Il fallait que les hommes fussent drôles pour imaginer qu'un paysage eût besoin qu'on l'aménageât. D'autres parlaient d'augmenter la réalité. Un jour 20 peut-être s'occuperaient-ils d'éclairer le soleil ? merci d’avance ;)
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