D’une façon générale, la mobilité sociale est en partie déterminée par les mouvements de destruction et de création d’emplois qui imposent des changements de position socioprofessionnelle, des emplois qui disparaissent vers les emplois qui se créent.
La comparaison de la colonne « ensemble » de la table des destinées qui indique la répartition socioprofessionnelle des actifs, avec la colonne « ensemble » de la table des recrutements qui indique la répartition socioprofessionnelle de leurs pères, permet d’observer les catégories en expansion et les catégories en baisse, entre la génération des pères et celle des fils.
Par exemple, depuis les années 1960-1970, l’augmentation de la part des professions intermédiaires et de la part des cadres et professions intellectuelles supérieures, au détriment de la part des agriculteurs, des ouvriers et, dans une moindre mesure, des artisans-commerçants et chefs d’entreprise, a favorisé une augmentation de la mobilité sociale ascendante.
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Réponse :
D’une façon générale, la mobilité sociale est en partie déterminée par les mouvements de destruction et de création d’emplois qui imposent des changements de position socioprofessionnelle, des emplois qui disparaissent vers les emplois qui se créent.
La comparaison de la colonne « ensemble » de la table des destinées qui indique la répartition socioprofessionnelle des actifs, avec la colonne « ensemble » de la table des recrutements qui indique la répartition socioprofessionnelle de leurs pères, permet d’observer les catégories en expansion et les catégories en baisse, entre la génération des pères et celle des fils.
Par exemple, depuis les années 1960-1970, l’augmentation de la part des professions intermédiaires et de la part des cadres et professions intellectuelles supérieures, au détriment de la part des agriculteurs, des ouvriers et, dans une moindre mesure, des artisans-commerçants et chefs d’entreprise, a favorisé une augmentation de la mobilité sociale ascendante.
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