Salut j'ai besoin d'aide s'il te plait
dans ce cas, vous devez argumenter avec un argument valable (justification interne et externe) pour défendre les objectifs d'AGRAPO. De plus, explique les prémisses et conclusion
texte:
"Le pari sur les centrales photovoltaïques peut aboutir à 700 hectares de terres agricoles et la forme
de vie d'une centaine d'agriculteurs », affirme6.
Plusieurs agriculteurs ont refusé de louer la terre, et malgré le fait que Capital Energy avait
a déclaré que le transfert des terres ne serait pas forcé, certains agriculteurs comme José Sánchez, à 64 ans
années, ils ont dû faire face à la déclaration d'utilité publique. M. Sánchez comme toutes ses oliveraies
ont fait l'objet d'une déclaration d'utilité publique par le ministère de la Transition écologique, com
suite à leur refus de louer leur terrain pour la réalisation du projet. "Ce
agriculteur a besoin de somnifères depuis mars dernier ses 10 hectares de terres,
rurales, mais fertiles, elles ont été prises dans une expropriation prévue par le ministère de la Transition écologique pour installer un parc de 446 hectares qui générera 250 mégawatts d'énergie solaire"7.
Pour sa part, la compagnie d'énergie dit qu'elle paie les propriétaires des terres beaucoup plus qu'ils ne reçoivent actuellement avec leurs récoltes, mais les comptes des agriculteurs sont différents ; le chiffre de 1 400 euros que l'entreprise offre aux propriétaires par hectare et par an est bien inférieur à ce qu'ils peuvent tirer de leurs récoltes d'huile, de pistaches, d'amandes ou de céréales. L'huile d'olive extra donne cinq fois plus, explique Sánchez.
Tout cela sans oublier le chômage auquel sont confrontés les milliers d'agriculteurs qui se consacrent depuis des années à cultiver la terre des autres. Un drame qui a même été porté au cinéma par la réalisatrice Carla Simón dans son dernier film "Alcarràs", nominé aux prix Goya.
Les mairies, les organisations environnementales et le groupe d'agriculteurs se sont joints à de multiples manifestations contre la centrale photovoltaïque de Ququima. La maire de Caniles a organisé une manifestation à laquelle des centaines de personnes ont participé et dans laquelle, avec des tracteurs, elles ont parcouru les rues de la commune : ""nous ne pouvons pas les laisser venir détruire l'économie locale en trompant et en menaçant les propriétaires d'expropriations"9 . Plusieurs maires et conseillers de communes voisines ont participé à la manifestation car ils considèrent que l'installation de la centrale affecte le mode de vie dans leurs villes et n'offre pas d'alternatives d'emploi aux agriculteurs.
Les municipalités, qui ont enfilé leurs chemises pour soutenir leurs agriculteurs, ont sorti l'argument écologique de leurs manches et sans l'aval environnemental, c'est-à-dire sans la déclaration d'impact environnemental, Capital Energy ne peut pas passer à autre chose.
En conséquence de ce qui précède, Capital Energy a dû s'asseoir et négocier avec les agriculteurs et les écologistes une réduction de son projet initial afin de réduire l'impact environnemental et social. Les mairies ont effectué un travail de médiation très important, et en conséquence, une table de dialogue a été mise en place entre les différents secteurs concernés par la construction du projet et la compagnie d'énergie, ce qui signifie une négociation avec les personnes concernées, dont beaucoup qui ont présenté leurs allégations dans la déclaration d'expropriation.
dans ce cas, vous devez argumenter avec un argument valable (justification interne et externe) pour défendre les objectifs d'AGRAPO. De plus, explique les prémisses et conclusion
texte:
"Le pari sur les centrales photovoltaïques peut aboutir à 700 hectares de terres agricoles et la forme
de vie d'une centaine d'agriculteurs », affirme6.
Plusieurs agriculteurs ont refusé de louer la terre, et malgré le fait que Capital Energy avait
a déclaré que le transfert des terres ne serait pas forcé, certains agriculteurs comme José Sánchez, à 64 ans
années, ils ont dû faire face à la déclaration d'utilité publique. M. Sánchez comme toutes ses oliveraies
ont fait l'objet d'une déclaration d'utilité publique par le ministère de la Transition écologique, com
suite à leur refus de louer leur terrain pour la réalisation du projet. "Ce
agriculteur a besoin de somnifères depuis mars dernier ses 10 hectares de terres,
rurales, mais fertiles, elles ont été prises dans une expropriation prévue par le ministère de la Transition écologique pour installer un parc de 446 hectares qui générera 250 mégawatts d'énergie solaire"7.
Pour sa part, la compagnie d'énergie dit qu'elle paie les propriétaires des terres beaucoup plus qu'ils ne reçoivent actuellement avec leurs récoltes, mais les comptes des agriculteurs sont différents ; le chiffre de 1 400 euros que l'entreprise offre aux propriétaires par hectare et par an est bien inférieur à ce qu'ils peuvent tirer de leurs récoltes d'huile, de pistaches, d'amandes ou de céréales. L'huile d'olive extra donne cinq fois plus, explique Sánchez.
Tout cela sans oublier le chômage auquel sont confrontés les milliers d'agriculteurs qui se consacrent depuis des années à cultiver la terre des autres. Un drame qui a même été porté au cinéma par la réalisatrice Carla Simón dans son dernier film "Alcarràs", nominé aux prix Goya.
Les mairies, les organisations environnementales et le groupe d'agriculteurs se sont joints à de multiples manifestations contre la centrale photovoltaïque de Ququima. La maire de Caniles a organisé une manifestation à laquelle des centaines de personnes ont participé et dans laquelle, avec des tracteurs, elles ont parcouru les rues de la commune : ""nous ne pouvons pas les laisser venir détruire l'économie locale en trompant et en menaçant les propriétaires d'expropriations"9 . Plusieurs maires et conseillers de communes voisines ont participé à la manifestation car ils considèrent que l'installation de la centrale affecte le mode de vie dans leurs villes et n'offre pas d'alternatives d'emploi aux agriculteurs.
Les municipalités, qui ont enfilé leurs chemises pour soutenir leurs agriculteurs, ont sorti l'argument écologique de leurs manches et sans l'aval environnemental, c'est-à-dire sans la déclaration d'impact environnemental, Capital Energy ne peut pas passer à autre chose.
En conséquence de ce qui précède, Capital Energy a dû s'asseoir et négocier avec les agriculteurs et les écologistes une réduction de son projet initial afin de réduire l'impact environnemental et social. Les mairies ont effectué un travail de médiation très important, et en conséquence, une table de dialogue a été mise en place entre les différents secteurs concernés par la construction du projet et la compagnie d'énergie, ce qui signifie une négociation avec les personnes concernées, dont beaucoup qui ont présenté leurs allégations dans la déclaration d'expropriation.
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Dans le cas présent, la compagnie d'énergie Capital Energy a décidé de mettre en place un projet de centrales photovoltaïques sur des terres agricoles, ce qui a suscité des inquiétudes chez les agriculteurs locaux. Bien que la compagnie ait affirmé que le transfert des terres ne serait pas forcé, certains agriculteurs ont été confrontés à des déclarations d'utilité publique, ce qui a créé des tensions.
Il est donc important de prendre en compte les préoccupations des agriculteurs locaux, qui dépendent de leurs terres pour leur subsistance. La compagnie d'énergie doit donc s'assurer que les agriculteurs concernés soient indemnisés de manière juste, afin de minimiser les impacts économiques et sociaux du projet.
De plus, le projet de centrales photovoltaïques doit être réalisé dans le respect de l'environnement, en minimisant les impacts sur les terres agricoles et en prenant en compte les conséquences pour la biodiversité locale. Les mairies et les organisations environnementales ont donc un rôle important à jouer dans la promotion d'une production d'énergie plus durable, en s'assurant que les projets sont réalisés de manière responsable.
En conclusion, il est important de soutenir les objectifs d'AGRAPO, qui visent à promouvoir une production d'énergie renouvelable tout en prenant en compte les enjeux environnementaux et sociaux. Dans le cas présent, la compagnie d'énergie Capital Energy a dû négocier avec les agriculteurs locaux et les organisations environnementales pour réduire l'impact environnemental et social de son projet de centrales photovoltaïques. Cette négociation a permis de mettre en place une table de dialogue entre les différents acteurs concernés, ce qui est un exemple de la manière dont les projets peuvent être réalisés de manière responsable et durable.