Réponse:
Un jour, mon ami était venu jouer à la maison très tôt. C’est vers onze heures que nous avons eu
envie d’aller jouer dans les bois près de chez moi. Ma mère, très inquiète au début, me laissa tout de
même y aller. Je lui promis de ne pas m’éloigner.
Nous avions pris avec nous des jumelles, notre déjeuner et tout ce qui pouvait nous servir. Ma
mère me dit de revenir pour le goûter. A peine entré dans le bois, nous vîmes une fourmilière. Mon ami
avait pris de chaude avec lui et il la reversa sur la fourmilière. Et ensuite, nous sommes partis en courant
pour éviter que les fourmis ne nous montent dessus. Nous étions en train de regarder des oiseaux grâce à
nos jumelles quand soudain nous vîmes une cabane au loin. Mon ami, tout excité, me dit :
- Allons-y vite !
- Non, ma mère m’a dit de ne pas m’éloigner, lui répondis-je très vite. Mais au fond, j’en avais
très envie.
- Arrête de faire le gamin, tu as peur d’aller loin, me dit-il en rigolant.
- Non, je n’ai pas peur ! Alors, allons-y !
Et nous y sommes allés. Cela faisait déjà trois heures que nous marchions. Après quatre heures de
marche, nous sommes enfin arrivés à cette cabane. Elle était délabrée et il y avait beaucoup de moisi. En
entrant dans la cabane, nous avons senti une affreuse odeur de bois pourri. J’avais complètement oublié
les recommandations de ma mère. Et l’heure du goûter était passée depuis un moment. Nous avions
oublié le chemin du retour. Je commençai à paniquer, mon ami me demanda :
- Qu’est-ce que tu as ?
Je n’ai même pas eu besoin de lui répondre, il avait compris qu’on était perdu. Il commençait à
faire nuit et nos vivres étaient épuisés. La pluie se mit à tomber et nous fûmes obligés de rentrer dans
cette horrible cabane. Dehors, nous entendions des bruits. Je pensais que c’était des loups. Les pas se
rapprochaient de nous. A ce moment, la porte s’ouvrit et je vis ma mère et la mère de mon ami avec des
voisins. Soulagé, je sautai sur ma mère tout en sachant pertinemment que j’allais être grondé et puni.
Après quelques jours, je m’étais remis de cette aventure et ma mère aussi. Je fus puni de cette
sortie, d’ordinateur et de télévision pendant très longtemps !
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Réponse:
Un jour, mon ami était venu jouer à la maison très tôt. C’est vers onze heures que nous avons eu
envie d’aller jouer dans les bois près de chez moi. Ma mère, très inquiète au début, me laissa tout de
même y aller. Je lui promis de ne pas m’éloigner.
Nous avions pris avec nous des jumelles, notre déjeuner et tout ce qui pouvait nous servir. Ma
mère me dit de revenir pour le goûter. A peine entré dans le bois, nous vîmes une fourmilière. Mon ami
avait pris de chaude avec lui et il la reversa sur la fourmilière. Et ensuite, nous sommes partis en courant
pour éviter que les fourmis ne nous montent dessus. Nous étions en train de regarder des oiseaux grâce à
nos jumelles quand soudain nous vîmes une cabane au loin. Mon ami, tout excité, me dit :
- Allons-y vite !
- Non, ma mère m’a dit de ne pas m’éloigner, lui répondis-je très vite. Mais au fond, j’en avais
très envie.
- Arrête de faire le gamin, tu as peur d’aller loin, me dit-il en rigolant.
- Non, je n’ai pas peur ! Alors, allons-y !
Et nous y sommes allés. Cela faisait déjà trois heures que nous marchions. Après quatre heures de
marche, nous sommes enfin arrivés à cette cabane. Elle était délabrée et il y avait beaucoup de moisi. En
entrant dans la cabane, nous avons senti une affreuse odeur de bois pourri. J’avais complètement oublié
les recommandations de ma mère. Et l’heure du goûter était passée depuis un moment. Nous avions
oublié le chemin du retour. Je commençai à paniquer, mon ami me demanda :
- Qu’est-ce que tu as ?
Je n’ai même pas eu besoin de lui répondre, il avait compris qu’on était perdu. Il commençait à
faire nuit et nos vivres étaient épuisés. La pluie se mit à tomber et nous fûmes obligés de rentrer dans
cette horrible cabane. Dehors, nous entendions des bruits. Je pensais que c’était des loups. Les pas se
rapprochaient de nous. A ce moment, la porte s’ouvrit et je vis ma mère et la mère de mon ami avec des
voisins. Soulagé, je sautai sur ma mère tout en sachant pertinemment que j’allais être grondé et puni.
Après quelques jours, je m’étais remis de cette aventure et ma mère aussi. Je fus puni de cette
sortie, d’ordinateur et de télévision pendant très longtemps !