Bonjour, je devais faire une rédaction mais je ne sait pas si c'est juste. Sujet de rédaction Consigne: Vous êtes l’un des hommes de la photographie. Racontez la scène que vous avez vécue. Décrivez vos sentiments. Vous introduirez un cour dialogue. Tout d’abord, j’étais un parisien tranquille, calme. Je vivais avec ma famille à Paris, rue de la Huchette. Mon travaille était de fabriquer des armes de chasse car on avait peur qu’il y aurait une nouvelle guerre après la guerre mondiale de 1914 à 1918. Elle fut si terrible qu’on avait former juste après la guerre beaucoup d’hommes. On leurs apprenaient à ce servir d’une arme. Puis, vers 1944 pendant la 2eme guerre mondiale d’Allemagne (1939-1945) les allemands viennent occupé la France dont Paris. Comme je suis devenu avec mes voisins un résistant après la guerre 14-18, on est allés à l’endroit où l’on travailler pour récupérer les armes de chasse. Nous avons fabriquer des sortes de tranchés comme la 1ere guerre mondiale pour combattre contre les allemands. Des personnes allaient au front pour essayer de tuer des soldats, mais comme ils n’étaient pas assez bien protéger le camps adverse les tuèrent. On étaient une centaines de résistants, les femmes et les enfants se cachèrent dans les maisons et d’autres s’enfuirent car ils eurent peur de la mort si les allemands les trouvèrent. Ensuite, au moment où je tirais j’eus peur que la guerre ne finissait jamais et que je meurs avec mes amis les résistants en laissant nos familles dans la misères et dans la pauvreté et ils seront torturés pour avoir essayer de combattre et que les allemands, surtout Hitler, prend le pouvoir de la France et torture tous les français puis prend le pouvoir du monde entier. Et un de mes amis résistant m’avait dit : « – Si l’on meurs pendant la bataille en gagnant, nous seront les héros de Paris et de la France. Alors ne t’inquiète pas parce qu’on ne sera jamais seul car tous les pays peuvent s’unir et combattre contre l’Allemagne. Et les français seront délivraient de la misère et de la peur et féliciteront les résistants pour leurs courage. – Je sais qu’on y arriveraient, dis-je, et qu’on gagnerait et que certain resteront vivants pour raconter leurs témoignages de la guerre à leurs enfants puis ceux-ci diront à leurs enfants, de génération à génération pour qu’ils ne mettent plus le monde en danger quand ils iront voter. Mais si nous perdant qu’est ce qu’on ferait et surtout si nous mourront, nos familles souffriront ! – Ne t’inquiète pas, nous avons tous l’espoir de réussir, nous devons nous entraider, il ne faut surtout pas baisser les bras et il faudra former beaucoup d’hommes pour réussir. » Soudain, je repris confiance en moi, et je me remis à tirer pour aider Paris et la France, pour les remettre debout. Nous sommes des résistants et nous n’avons pas peur de combattre nous devons réussir si nous voulons gagné et nous tueront Hitler et nous laisseront sont corps pourrir dans la nature avec ces compagnons.
Responda
Salam, j'ai besoin d'aide pour un travaille, merci d'avance!!!!!!!!!!!! Il faut écrire l'histoire des loup affamés en arabe. Voici l'histoire en français: Il était une fois deux loups, deux loups qui avaient terriblement faim. Ils ne trouvaient rien à se mettre sous leurs terribles crocs. Ils en avaient perdu le sommeil. Cette nuit-là, ils étaient d’accord pour changer d’endroit. Toujours aux aguets, ils marchaient à pas de loups, les oreilles dressées, ils écoutaient le moindre bruit, flairaient la moindre odeur. Soudain un des loups sursauta, regarda l’autre loup et lui dit : - As-tu entendu, comme moi, le chant d’un coq là-bas dans la forêt ? - J’ai entendu le chant d’un coq, mais je crois que ce ne sont que des hallucinations ! - Chut ! Tais-toi ! Tu entends bien le chant d’un coq ! - C’est vrai, tu as raison ! Cette fois-ci mes oreilles ne l’ont pas inventé ! Ce n’est pas un mirage. Mais notre problème c’est que ces volatiles sont souvent perchés sur les arbres. - Tentons notre chance, peut-être que nous serons assez malin pour l’attraper ! Ils mirent le chemin de la forêt sous leurs pattes. À l’orée du bois, le second loup, qui avait très peur du noir, décida d’abandonner là. Le premier loup, lui, n’hésita pas. Il s’enfonça dans les broussailles. Il était sans doute plus affamé ou plus audacieux que son ami. Il cherchait de bosquets en bosquets. Arrivé dans la clairière, il aperçut enfin un coq chantant perché sur le sommet d’un arbre. - Bonjour Monsieur le Coq ! Vous êtes le roi des muezzins ! Mon désir serait que vous descendiez et que l’on partage une prière ensemble. - Désolé cher loup ! Je n’ai pas encore fait mes ablutions. Mais un peu plus loin là-bas au pied de cet arbre, un ami qui m’est cher sera heureux de prier avec toi. N’hésite pas à le réveiller ! Le loup se précipita vers l’arbre que lui avait indiqué le coq. Il se pourléchait les babines. - Enfin quelque chose à se mettre sous la dent ! pensa-t-il. Sa joie fut de courte durée. À peine arrivé près de l’arbre, surgit un chien de chasse. Le loup aurait voulu prendre ses jambes à son cou mais il était trop tard. La peur le paralysait. La queue basse, le regard méfiant, il dit : - Voudriez-vous prier avec moi ? - Ô Pauvre de moi, je voudrais bien ! Mais j’ai un terrible mal de tête ! Surtout quand je vois un loup ! - Je sais ce qui peut guérir votre mal de tête ! De la cervelle ! Ça tombe bien j’ai laissé à l’orée du bois une belle proie avec une grosse cervelle. Parce que moi je vous aurai bien offert la mienne mais je l’ai perdue et je n’en ai plus ! Le chien n’était pas d’humeur à écouter ces balivernes. D’un bond il se saisit du loup et le dévora. Quant à l’autre loup resté à l’orée du bois, il entendit un horrible cri résonner dans la forêt. Il sut qu’un grand malheur était arrivé à son compagnon. Il était heureux de ne pas l’avoir suivi. Il leva les yeux au ciel et vit les dattes d’un palmier. Il se dit : - Ah ! Ces délicieuses dattes suffiraient à calmer ma faim, mais je ne sais ni grimper aux arbres, ni bondir très haut. Je me contenterai de celles qui tombent par terre ! La gueule grande ouverte, il attendit sous l’arbre. Mon conte est tombé du palmier, le loup l’a avalé.
Responda

Helpful Social

Copyright © 2024 ELIBRARY.TIPS - All rights reserved.