Bonjour , Pouvez vous svp m'aider à traduire ce texte en anglais SANS SITES DE TRADUCTION AUTOMATIQUES COMME GOOGLE TRADUCTION svp !! Merci !!! En traduisant , vous pouvez reformuler des phrases ! Cher Ennis , Je t’écris cette lettre pour te parler , que notre situation familiale n’est pas normale , je vois que tu ne nous calcules plus , moi et les filles. Tu préfères passer du temps avec un certain Jack Twist , comme faire des voyages de peche, et jamais avec nous ! Quel égoiste ! Tu ne penses qu’à toi ! Je commence à etre malheureuse , tu ne communiques jamais avec moi , tu n’as aucune affection envers moi , comme si je n’existais pas. Tu refuses toujours de faire des sorties , de t’amuser , dès que tu es au lit , tu dors directement après de rentrer de ton travail rude , fatiguant et mal payé au Ranch ! . Je t’ai conseillé de chercher un autre travail permanent mieux rénuméré , mais monsieur , ne m’écoute pas ! Mais quelle vie ennuyeuse et pénible que nous vivons , moi et tes propres filles ! Tes filles , aussi , réclament de passer du temps avec leur père. Elle me demandent “ Pourquoi n’y va-t-on jamais en vacances avec Papa ? Nous en avons assez de cette vie monotone ! Ennis , tu nous mènes la vie dure ! “ Pour quelle raison agis tu ainsi , de cette manière ?” Est-ce moi ?” “Ou bien cet homme , Jack Twist ,?” J’ai bien remarqué et fixé votre calin lors de vos retrouvailles , par la fenetre , mais que cela signifie donc? Meme à moi , tu n’as jamais fait un calin aussi chaleureux. Préfères tu ce Jack Twist que moi ? Quelle question idiote que je te pose , la réponse est évidente ! Ennis , tu me dégoutes , tu me répugnes , tu me fais honte ! Pourquoi m’as tu épousé et fondé une famille , si tu es attiré , ressent des sentiments pour un homme ? Pourquoi ne me l’avoir pas dit ? Sache qu’Ennis , j’ai eu une poisse énorme , une malchance incontestable de t’avoir dans ma vie , Bon Dieu ! J’en ai assez ! C’est certainement réciproque , je demande le divorce ! Merci Ennis , de m’avoir ouvert les yeux ! Je ne ferais plus d’erreur , et le prochain homme que j’épouserais sera digne d’etre un vrai homme ! Merci d'avance !!!!!
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Bonjourrrr , je vous en supplie vous pouvez m'aider à répondre . Ce devoir est tellement durrr , Incompréhensible !!!!+++ @@@@@@@ Pour les remarques 1 , 3 , 2 et 4 , cherchez ce que l'élève aurait du ou pu écrire pour améliorer sa réponse…incompréhensible , je ne sais meme par quoi commencer ou faire , je ne trouve aucune indication ;(((( Sans l'entrée de Free , la baisse des prix entre fin 2011 et fin 2013 aurait été de 9, 5 % ( 22 , 0 - 24 , 1 ) / 22, 0 × 100 = 9,5 % A la suite de l'entrée de Free , la baisse des prix observée entre 2011 et 2013 a ete de 42 , 6 % ( 1 ) ( 16, 9 - 24 , 1 ) / 16,9 × 100 = 42 , 6 %La concurrence semble être un facteur essentiel permettant d'expliquer la baisse des prix ( 2 )Le document intitulé " Baisse des factures mobiles consécutive à la dynamisation de la concurrence " montre en effet que la baisse des prix a été beaucoup plus forte dans la téléphonie mobile grace à l'entrée d'un quatrième opérateur , Free ,sur le marché (3) En effet , alors que les prix ont effectivement baissé de 7, 2 euros , soit 42 , 6 % entre 2011 et 2013 après l'entrée de Free , l'UFC que Choisir a calculé que cette baisse n'aurait été que de 2, 1 euros , soit moins de 10 % sans cette entrée ( 4 )Voici les remarques ( 1 ) Faux . Attention le calcul des % de variation n'est pas symétrique prenez la valeur de départ , pas d'arrivée ! Redonnez la formule. Les phrases sont justes et assez précises.(2) Il est bon en effet de formuler tout de suite l'idée générale de la réponse(3) Il serait bon de présenter un peu le document : indicateur , période , source , contexte....(4 ) Erreur de calcul reprise. Bien pour la justifucation et le 2e calcul . Autres calculs possibles. La reponse est un peu courte. Quelles autres causes de la baisse des prix ? Quelle importance relative ? Merci
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Bonjour , Pouvez vous svp m'aider à résumer ce poème de Victor Hugo svp avec point de vue si possible svp ? Merci C " Chose vue un jour de printemps" Entendant des sanglots, je poussai cette porte. Les quatre enfants pleuraient et la mère était morte. Tout dans ce lieu lugubre effrayait le regard. Sur le grabat gisait le cadavre hagard ; C’était déjà la tombe et déjà le fantôme. Pas de feu ; le plafond laissait passer le chaume. Les quatre enfants songeaient comme quatre vieillards. On voyait, comme une aube à travers des brouillards, Aux lèvres de la morte un sinistre sourire ; Et l’aîné, qui n’avait que six ans, semblait dire : « Regardez donc cette ombre où le sort nous a mis ! » Un crime en cette chambre avait été commis. Ce crime, le voici : – Sous le ciel qui rayonne, Une femme est candide, intelligente, bonne ; Dieu, qui la suit d’en haut d’un regard attendri, La fit pour être heureuse. Humble, elle a pour mari Un ouvrier ; tous deux, sans aigreur, sans envie, Tirent d’un pas égal le licou de la vie. Le choléra lui prend son mari ; la voilà Veuve avec la misère et quatre enfants qu’elle a. Alors, elle se met au labeur comme un homme. Elle est active, propre, attentive, économe ; Pas de drap à son lit, pas d’âtre à son foyer ; Elle ne se plaint pas, sert qui veut l’employer, Ravaude de vieux bas, fait des nattes de paille, Tricote, file, coud, passe les nuits, travaille Pour nourrir ses enfants ; elle est honnête enfin. Un jour, on va chez elle, elle est morte de faim. Oui, les buissons étaient remplis de rouges-gorges, Les lourds marteaux sonnaient dans la lueur des forges, Les masques abondaient dans les bals, et partout Les baisers soulevaient la dentelle du loup ; Tout vivait ; les marchands comptaient de grosses sommes ; On entendait rouler les chars, rire les hommes ; Les wagons ébranlaient les plaines ; le steamer Secouait son panache au-dessus de la mer ; Et, dans cette rumeur de joie et de lumière, Cette femme étant seule au fond de sa chaumière, La faim, goule effarée aux hurlements plaintifs, Maigre et féroce, était entrée à pas furtifs, Sans bruit, et l’avait prise à la gorge, et tuée. La faim, c’est le regard de la prostituée, C’est le bâton ferré du bandit, c’est la main Du pâle enfant volant un pain sur le chemin, C’est la fièvre du pauvre oublié, c’est le râle Du grabat naufragé dans l’ombre sépulcrale. Ô Dieu ! la sève abonde, et, dans ses flancs troublés, La terre est pleine d’herbe et de fruits et de blés, Dès que l’arbre a fini, le sillon recommence ; Et, pendant que tout vit, ô Dieu, dans ta clémence, Que la mouche connaît la feuille du sureau, Pendant que l’étang donne à boire au passereau, Pendant que le tombeau nourrit les vautours chauves, Pendant que la nature, en ses profondeurs fauves, Fait manger le chacal, l’once et le basilic, L’homme expire ! – Oh ! la faim, c’est le crime public ; C’est l’immense assassin qui sort de nos ténèbres. Dieu ! pourquoi l’orphelin, dans ses langes funèbres, Dit-il : « J’ai faim ! » L’enfant, n’est-ce pas un oiseau ? Pourquoi le nid a-t-il ce qui manque au berceau ?
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Bonjour , Pouvez vous m'aider s'il vous plait ? À résumer ce poème de Victor Hugo , avec votre point de vue svp ? "Un soir que je regardais le ciel" Elle me dit, un soir, en souriant : - Ami, pourquoi contemplez-vous sans cesse Le jour qui fuit, ou l'ombre qui s'abaisse, Ou l'astre d'or qui monte à l'orient ? Que font vos yeux là-haut ? je les réclame. Quittez le ciel; regardez dans mon âme ! Dans ce ciel vaste, ombre où vous vous plaisez, Où vos regards démesurés vont lire, Qu'apprendrez-vous qui vaille mon sourire ? Qu'apprendras-tu qui vaille nos baisers ? Oh! de mon coeur lève les chastes voiles. Si tu savais comme il est plein d'étoiles ! Que de soleils ! vois-tu, quand nous aimons, Tout est en nous un radieux spectacle. Le dévouement, rayonnant sur l'obstacle, Vaut bien Vénus qui brille sur les monts. Le vaste azur n'est rien, je te l'atteste ; Le ciel que j'ai dans l'âme est plus céleste ! C'est beau de voir un astre s'allumer. Le monde est plein de merveilleuses choses. Douce est l'aurore et douces sont les roses. Rien n'est si doux que le charme d'aimer ! La clarté vraie et la meilleure flamme, C'est le rayon qui va de l'âme à l'âme ! L'amour vaut mieux, au fond des antres frais, Que ces soleils qu'on ignore et qu'on nomme. Dieu mit, sachant ce qui convient à l'homme, Le ciel bien loin et la femme tout près. Il dit à ceux qui scrutent l'azur sombre : "Vivez ! aimez ! le reste, c'est mon ombre !" Aimons ! c'est tout. Et Dieu le veut ainsi. Laisse ton ciel que de froids rayons dorent ! Tu trouveras, dans deux yeux qui t'adorent, Plus de beauté, plus de lumière aussi ! Aimer, c'est voir, sentir, rêver, comprendre. L'esprit plus grand s'ajoute au coeur plus tendre. Viens, bien-aimé ! n'entends-tu pas toujours Dans nos transports une harmonie étrange ? Autour de nous la nature se change En une lyre et chante nos amours. Viens ! aimons-nous ! errons sur la pelouse Ne songe plus au ciel ! j'en suis jalouse ! - Ma bien-aimée ainsi tout bas parlait, Avec son front posé sur sa main blanche, Et l'oeil rêveur d'un ange qui se penche, Et sa voix grave, et cet air qui me plaît ; Belle et tranquille, et de me voir charmée, Ainsi tout bas parlait ma bien-aimée. Nos coeurs battaient ; l'extase m'étouffait ; Les fleurs du soir entr'ouvraient leurs corolles ... Qu'avez-vous fait, arbres, de nos paroles ? De nos soupirs, rochers, qu'avez-vous fait ? C'est un destin bien triste que le nôtre, Puisqu'un tel jour s'envole comme un autre ! O souvenirs ! trésor dans l'ombre accru ! Sombre horizon des anciennes pensées ! Chère lueur des choses éclipsées ! Rayonnement du passé disparu ! Comme du seuil et du dehors d'un temple, L'oeil de l'esprit en rêvant vous contemple ! Quand les beaux jours font place aux jours amers, De tout bonheur il faut quitter l'idée ; Quand l'espérance est tout à fait vidée, Laissons tomber la coupe au fond des mers. L'oubli ! l'oubli ! c'est l'onde où tout se noie ; C'est la mer sombre où l'on jette sa joie.
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Bonjour , pouvez vous me résumer ce poème svp , avec votre point de vue À QUOI SONGEAIENT LES DEUX CAVALIERS DANS LA FORÊT La nuit était fort noire et la forêt très sombre. Hermann à mes côtés me paraissait une ombre. Nos chevaux galopaient. À la garde de Dieu ! Les nuages du ciel ressemblaient à des marbres. Les étoiles volaient dans les branches des arbres Comme un essaim d’oiseaux de feu. Je suis plein de regrets. Brisé par la souffrance, L’esprit profond d’Hermann est vide d’espérance. Je suis plein de regrets. Ô mes amours, dormez ! Or, tout en traversant ces solitudes vertes, Hermann me dit : Je songe aux tombes entr’ouvertes ! Et je lui dis : Je pense aux tombeaux refermés ! Lui regarde en avant : je regarde en arrière. Nos chevaux galopaient à travers la clairière ; Le vent nous apportait de lointains angelus ; Il dit : Je songe à ceux que l’existence afflige, À ceux qui sont, à ceux qui vivent. — Moi, lui dis-je, Je pense à ceux qui ne sont plus ! Les fontaines chantaient. Que disaient les fontaines ? Les chênes murmuraient. Que murmuraient les chênes ? Les buissons chuchotaient comme d’anciens amis. Hermann me dit : Jamais les vivants ne sommeillent. En ce moment, des yeux pleurent, d’autres yeux veillent. Et je lui dis : Hélas ! d’autres sont endormis ! Hermann reprit alors : Le malheur, c’est la vie. Les morts ne souffrent plus. Ils sont heureux ! J’envie Leur fosse où l’herbe pousse, où s’effeuillent les bois. Car la nuit les caresse avec ses douces flammes ; Car le ciel rayonnant calme toutes les âmes Dans tous les tombeaux à la fois ! Et je lui dis : Tais-toi ! respect au noir mystère ! Les morts gisent couchés sous nos pieds dans la terre. Les morts, ce sont les cœurs qui t’aimaient autrefois ! C’est ton ange expiré ! c’est ton père et ta mère ! Ne les attristons point par l’ironie amère. Comme à travers un rêve ils entendent nos voix.
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