cierro la puerta de la casa y, cuando me acercó a la camioneta, veo que Mercedes se ha sentado en el asiento trasero y me mira con cara compungida. - Que haces alli ? -digo, sorprendido .-No me dijo que suba ? -responde.-Si claro,pero no atras.-Adedonde, entonces? -Adelante. Adonde mas ? Mercedes me mira muy seria y pregunta :-Adelante ? -Claro, pasate adelante, como se te ocurre que vas a ir atras ? -No, joven, adelante no-dice con firmeza.-Por que no ? -pregunto, sin entender -Porque asi me han ensenado - responde.-Que te han ensenado, Mercedes ? -Que una por ser chola va atras, nunca adelante con el patron. Me rio y ella me mira con el ceno fruncido, como ofendida y dice :-Que ? Que se rie, joven ?-Quien te ensenada esa estupidez ?-La senora Luz Clarita -Eso te dijo ? ( ...) Con que cara te llama y te obliga a ir atras es que ellia fuese scandinava.-Escaldada era la senora Luz Clarita, to el dia se andaba quejando-Pasate adelante, Mercedes. Si te quedas atras, se cancela el viaja.-Uy, se puso fosforito el joven - comenta ella, risuena-Ya, no sea tercodejeme ir atras, que me da miedo adelante, toda mi vida he ido atras.-Bueno, toda tu vida has ido atras, pero ahora te toca ir adelante.-No joven. No ve que soy chola ?-y que ?-y no podemos ir juntos blanco y chola adelentela question c'est :Explica y comenta la frase. " Que una por ser chola va atras, nunca adelente con el praton ". dis que reflexion es te inspira esta afirmación sobre una parte de la sociedad peruana de la epoca ( unas diez lineas )
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je dois faire 2parties d'un commentaire composé : la 1ere partie je l'ai fini mais la 2eme je n'arrive pas . Svp j'ai vraiment besoin d'aide :I.Un monologue tragique a)une heroine soumise au puissant b) un dilemme tragique Pour developper ses sous parties je vous donne le texte d'emilie de Cinna , CorneilleImpatients désirs d'une illustre vengeanceDont la mort de mon père a formé la naissance,Enfants impétueux de mon ressentiment,Que ma douleur séduite embrasse aveuglément,5 Vous prenez sur mon âme un trop puissant empire ;Durant quelques moments souffrez que je respire,Et que je considère, en l'état où je suis,Et ce que je hasarde, et ce que je poursuis.Quand je regarde Auguste au milieu de sa gloire,10 Et que vous reprochez à ma triste mémoireQue par sa propre main mon père massacréDu trône où je le vois fait le premier degré ;Quand vous me présentez cette sanglante image,La cause de ma haine, et l'effet de sa rage,15 Je m'abandonne toute à vos ardents transports,Et crois, pour une mort, lui devoir mille morts.Au milieu toutefois d'une fureur si juste,J'aime encor plus Cinna que je ne hais Auguste,Et je sens refroidir ce bouillant mouvement20 Quand il faut, pour le suivre, exposer mon amant.Oui, Cinna, contre moi, moi-même je m'irriteQuand je songe aux dangers où je te précipite.Quoique pour me servir tu n'appréhendes rien,Te demander du sang, c'est exposer le tien :25 D'une si haute place on n'abat point de têtesSans attirer sur soi mille et mille tempêtes ;L'issue en est douteuse, et le péril certain :voila celui qui m'aidera je ferai mon maximum pour l'aider en maths en histoire en physique etc ... je vous le promet
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